LOVE FRANAISE. ****** M Hun LE SALE ABELG, L'anem le cn trieau est ant! lens furent d'hord appréci Mile Lescot. Élève de M. Ier. Italie, et ses portefeuilles aus gener des scènes agréables qui se rencoLee, F les environs de Rome, où les geus d. tonjours de la noi'esse dar.. les p» kuroj temi.nt. La saltarelle est re di se d? und guitare et des tambours de Laszą d'une déclaration d'amour. Lr smtton" et com tour de l'autre, les danseurs 'out éclater I'm a r sion qu'ils felgnent d'avoir, exprimapy sv ou le bag! », ' + jakousie ou le Tées 'n genov Tere pour fléchir le c probe de tui pu Zegré, toujours caedra elne avec un sourire, comnie po danseur se relève, e, quelques sauts pantomime. Si l'on dos 4-nseurs est fatigué, canto foute et se laisse remplacer par un asseng rello, dont la durée se prolonize indifespan Ce tableau parut au salon se añan. 1 søer veuve Charlart, et a été grave na mandentis Larg., a pieda; haut., ÉCOLE FRANÇAISE. oooooo Ma HAUDEBOURT. eo.000 CAB. PARTICULIER. LE SALTARELLO. L'auteur de ce tableau est madame Haudebourt, dont les talens furent d'abord appréciés lorsqu'elle portait le nom de Mlle Lescot. Élève de M. Lethière, elle a été long-temps en Italie, et ses portefeuilles ainsi que sa mémoire, sont remplis des scènes agréables qui se rencontrent à chaque instant dans les environs de Rome, où les gens de toutes les classes ont toujours de la noblesse dans leur pose, et de la grace dans leur ajustement. Le saltarello est une danse de deux personnes au son de la guitare et des tambours de basque : c'est la scène complète d'une déclaration d'amour. En sautillant et tournant l'un autour de l'autre, les danseurs font éclater l'un et l'autre la passion qu'ils feignent d'avoir, exprimant successivement la joie ou le chagrin, la jalousie ou le désespoir : enfin le danseur met un genou à terre pour fléchir le cœur de sua cara qui se rapproche de lui par degré, toujours en dansant. Lorsqu'elle s'incline avec un sourire, comme pour appeler un baiser, le danseur se relève, et quelques sauts vifs et légers terminent la pantomime. Si l'un des danseurs est fatigué, souvent il rentre dans la foule et se laisse remplacer par un autre qui continue le saltarello, dont la durée se prolonge indéfiniment. Ce tableau parut au salon de 1824. Il appartient à madame veuve Charlart, et a été gravé en mezzotinte par M. Reynolds. Larg., 2 pieds; haut., 1 pied 8 pouces. |