FRENCH SCHOOL. coo000000000 GIRODET. 00000000000000000 PARIS. HIPPOCRATES REFUSING ARTAXERXES' PRESENTS. Hippocrates, who was born in the island of Cos, about 400 years before Christ, is always mentioned as the most skilful of physicians his Aphorisms are considered as oracles, and his name is never uttered but with veneration. Having delivered Athens from the plague that infested it, he received, as a reward, the rights of citizenship, the initiation in the grand mysteries, and a golden crown. Artaxerxes, king of Persia, in the hopes of enjoying the advantage of the knowledge and talents of Hippocrates, offered him a considerable sum of money, magnificent presents and the promise of the highest honours, if he would come to his court; but Hippocrates replied to the ambassadors: I was born to serve my countrymen and not a foreigner. Girodet painted this picture at Rome, for M. Trioson, his guardian; it was bequeathed by that physician to the School of Medicine in Paris, where it now is, A little dryness is thought to exist in the execution of this picture, but the composition is most judiciously arranged and the expressions are all full of grandeur. It has been engraved, in a very remarkable style, by M. Raphael Urbain Massard. Width, 4 feet 3 inches; height, 3 feet 2 inches. ÉCOLE FRANÇAISE. 000000000000 GIRODET. 000000066666666666 PARIS. HIPPOCRATE REFUSANT LES PRÉSENS D'ARTAXERCE. Né dans l'ile de Cos, environ 460 ans avant Jésus-Christ, Hippocrate est toujours cité comme le plus habile des médecins; ses aphorismes sont regardés comme des oracles, et son nom n'est prononcé qu'avec vénération. Ayant délivré Athènes de la peste qui l'affligeait, il reçut en récompense le droit de bourgeoisie, l'initiation aux grands mystères, et une couronne d'or. Artaxerce, roi de Perse, dans l'espoir de jouir de ses connaissances et de ses talens, lui offrit une somme considérable d'argent, de beaux présens, et lui promit les plus grands honneurs s'il voulait se rendre à sa cour; mais Hippocrate répondit à ses envoyés : « Je dois tout à ma patrie et rien aux étrangers. » Girodet fit ce tableau à Rome, en 1792, pour M. Trioson, son tuteur. Il a été légué par ce médecin à l'École de Médecine de Paris, où il est maintenant. On croit voir un peu de sécheresse dans l'exécution du tableau, mais la composition est des plus sages, et les expressions sont toutes pleines de noblesse. M. Raphaël-Urbain Massard l'a gravé d'une manière tout-à-fait remarquable. Larg., 4 pieds; haut., 3 pieds. |