Histoire de France depuis les temps les plus reculés jusqu'en 1789, Volumen6 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 82
Página 1
... trêve de quelques jours et n'avait rien changé à la situation , toujours enfermée dans le même cercle : aucun des deux partis , Armagnacs et Bourguignons , faction du sud et faction du nord , ne pouvait écraser l'autre . Les VI . 1.
... trêve de quelques jours et n'avait rien changé à la situation , toujours enfermée dans le même cercle : aucun des deux partis , Armagnacs et Bourguignons , faction du sud et faction du nord , ne pouvait écraser l'autre . Les VI . 1.
Página 2
Henri Martin (historien français). faction du nord , ne pouvait écraser l'autre . Les forces de la France s'usaient de plus en plus ; la dissolution sociale semblait ne pou- voir plus s'accroître et pourtant s'accroissait sans cesse ; l ...
Henri Martin (historien français). faction du nord , ne pouvait écraser l'autre . Les forces de la France s'usaient de plus en plus ; la dissolution sociale semblait ne pou- voir plus s'accroître et pourtant s'accroissait sans cesse ; l ...
Página 8
... pouvait s'arrêter à un plus mauvais choix que celui d'Albret , qui n'avait eu d'autre titre au rang de connétable que sa parenté avec la maison royale . C'était un petit homme de mauvaise mine , chez qui le dedans répondait au dehors ...
... pouvait s'arrêter à un plus mauvais choix que celui d'Albret , qui n'avait eu d'autre titre au rang de connétable que sa parenté avec la maison royale . C'était un petit homme de mauvaise mine , chez qui le dedans répondait au dehors ...
Página 16
... pouvait bouger . On résolut d'attendre l'ennemi au lieu de l'attaquer . Une tristesse vague se répandit parmi les Français ; des scènes touchantes se passèrent dans les rangs les gentilshommes « se pardonnèrent les haines qu'ils avoient ...
... pouvait bouger . On résolut d'attendre l'ennemi au lieu de l'attaquer . Une tristesse vague se répandit parmi les Français ; des scènes touchantes se passèrent dans les rangs les gentilshommes « se pardonnèrent les haines qu'ils avoient ...
Página 22
... pouvait paraître dur de récompenser le duc de Bourgogne de sa connivence avec l'ennemi en lui livrant la France . C'eût été pourtant la seule chance de la sauver . Faible et triste chance ! Quoi qu'on fit , on ne pouvait se livrer qu'à ...
... pouvait paraître dur de récompenser le duc de Bourgogne de sa connivence avec l'ennemi en lui livrant la France . C'eût été pourtant la seule chance de la sauver . Faible et triste chance ! Quoi qu'on fit , on ne pouvait se livrer qu'à ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
Anglais archers Armagnacs armée assesseurs assiégés avaient avoit bailli Bâle Basin bataille bâtard Berri Bour Bourbon Bourges Bourguignons Bretagne c'était capitaines Cauchon chancelier Charles VII château chefs chose Compiègne comte concile concile de Bâle connétable conseil d'Angleterre d'Armagnac dauphin Dauphinois Déposition devant Dieu duc d'Alençon duc de Bedford duc de Bourgogne duc Jean duc Philippe Dunois ennemis envoyés étoit eût évêques femme Flandre française frère garnison gens d'armes gens de guerre Glocester gouvernement Guyenne Harfleur Henri hommes ibid Isambard Jacques Cœur Jean Bureau Jean Chartier Jeanne Darc l'armée l'Église l'évêque laissa Loire Lorraine Louis XI main manda maréchal ment mille Monstrelet mort n'avait n'était Normandie Ordonn Orléans paix pape passer Perceval de Cagni peuple Picardie Pierre Cauchon princes Procès Pucelle régent Reims reste Richemont Rouen royale royaume s'était saint Saint-Denis Saintrailles secours seigneurs seulement siége d'Orléans sire soldats Talbot Thomas Basin tion Trémoille Troies troupes voix Winchester
Pasajes populares
Página 253 - L'enfant redevint l'héroïne, lorsque Cauchon, suivant les formules, lui intima défense de « se retrairc de la prison à elle assignée », sous peine d'être déclarée convaincue d'hérésie. « Je n'accepte point la défense ! s'écria-t-elle. Je n'ai baillé ma foi à personne. J'ai voulu et voudrai me départir de vos prisons! Si vous étiez bien informés de moi, "Vous devriez vouloir que je fusse hors de vos mains2.
Página 145 - Car personne au monde, ni roi, ni ducs, ni fille du roi d'Ecosse, ne peuvent reprendre le royaume de France, et il n'ya pour lui de secours que moi-même, quoique j'aimasse mieux rester à filer près de ma pauvre mère; car ce n'est pas là mon ouvrage; mais il faut que j'aille et que je le fasse, parce que mon Seigneur le veut.
Página 186 - Enfin, gentil roi, ores est exécuté le plaisir de Dieu, qui voulait que vous vinssiez à Reims recevoir votre digne sacre, en montrant que vous êtes vrai roi, et celui auquel le royaume doit appartenir.
Página 17 - Angleterre, comme j'estois, qu'il n'en fust rien. Or donc, comme dessus touché, les Anglois oyants le roy eulx ainsi admonester , jettèrent un grant cry, en disant : « Sire , nous prions Dieu qu'il vous » donne bonne vie et la victoire sur vos ennemis. » Alors, après ce que le roy d'Angleterre eust ainsi admonesté ses gens . ainsi comme il estoit monté sur un petit cheval , se mist devant la bannière , et lors marcha atout sa bataille en très belle ordonnance, en approchant ses ennemis;...
Página 150 - Gentil dauphin, pourquoi ne me croyez-vous? Je vous dis que Dieu a pitié de vous, de votre royaume et de votre peuple : car saint Louis et Charlemagne sont à genoux devant lui, en faisant prière pour vous ; et je vous dirai, s'il vous plaît, telle chose, qu'elle vous donnera à connoître que me devez croire.
Página 270 - Avez-vous commandement de vos voix que vous ne vous submettiez point à l'Église militant? — Je ne réponds chose que je prenne en ma tête : ce que je réponds, c'est du commandement de mes voix : elles ne commandent point que je n'obéisse à l'Église , Notre Sire premier servi ' . » Point d'équivoque , point d'obscurité. On a commencé par sommer Jeanne de soumettre ses faits à l'Église. Elle a répondu, sans paraître distinguer l'Église des gens d'église assemblés devant elle, que,...
Página 226 - Mes enfants et chers amis, je vous signifie que l'on m'a vendue et trahie, et que, de brief, serai livrée à la mort. Si vous supplie que vous priez Dieu pour moi ; car jamais n'aurai plus de puissance de faire service au roi ne au royaume de France'.
Página 158 - Roi d'Angleterre, si ainsi ne le faites pas, je suis chef de guerre, et en quelque lieu que j'atteindrai vos gens en France, je les en ferai aller, qu'ils le veuillent ou non.
Página 85 - pitié et merci de l'âme de très haut et très excel» lent prince Charles, roi de France, sixième de ce » nom , notre naturel et .souverain seigneur » ! Et derechef après ce cria le dessusdit roi d'armes : « Dieu doint bonne vie à Henri, par la grâce de » Dieu, roi de France et d'Angleterre, notre » souverain seigneur ». Lequel cri accompli, les sergents d'armes dessusdits redressèrent leurs masses , les fleurs de lys dessus , en criant tous 37.
Página 260 - Croyez-vous que votre roi a bien fait de tuer ou faire tuer monseigneur de Bourgogne ? — Ce fut grand dommage pour le royaume de France. Mais, quelque chose qu'il y eût entre eux, Dieu m'a envoyée au secours du roi de France '. 231 — Jehanne, savez-vous par révélation si vous échapperez ? — Cela ne touche point votre procès.