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FRANÇAIS. Avril : 16. Une famille de financiers au XVIe siècle. 18. A travers la Chine, par L. Rousset. 23. Katia, par le comte Tolstoï. 24. Misère et remèdes, par le comte d'Haussonville; Les Juifs de Rome et de l'Empire au temps de saint Pierre. 25. La Tactique au x111° siècle, par Delpech. 30. Nouvelles promenades archéologiques, par G. Boissier. Mai: 5. Jeanne de France, duchesse d'Orléans, par R. de Maulde. 7. Le Procès du latin, par Heinrich. 8. L'Église et l'État, par le marquis de Gabriac. 8. L'Armée française; types et costumes, par Detaille. 9 Xavier de Mérode, sa vie et ses œuvres, par M8 Besson. 10. Les Annales du théâtre et de la musique. 14. A travers l'empire britannique, par le baron de Hübner. 15. Moïse a-t-il mis sa marque d'auteur sur les cinq livres qui lui sont attribués.

FRANCE. Avril 22, 27. La France juive. Mai 2 L'Œuvre, par M. Zola. 8. M. Rollinat. 15. Histoire des œuvres de Balzac, par M. de Lovenjoul.

FRANCE LIBRE. Avril 16, 24. L'Œuvre, par M. Zola. - Mai 2. Horace. 8. La manie des livres.

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MONITEUR UNIVERSEL. Avril 19. L'Age de papier. 23. Fournel: MM. P. Bourget et J. Lemaître. Mai: 1. Shakespeare. 1o. Les Mémoires de M. de Pontmartin. 11. Philosophie du droit civil, par Franck. 13. Histoire de l'Escrime, par Mérignac. 15. Pascal et la nouvelle édition de M. Derôme.

NATIONAL. Avril 24. La France juive. 25. Les Dames de Croix-Mort et M. G. Ohnet.

RALLIEMENT. Avril : 27. La France juive. ·

Le Faux naturalisme.

Mai: 8.

RAPPEL. Avril 23. V. Meunier: Chez les bêtes. 24. L. Ulbach le Théâtre en liberté.

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SOLEIL. Avril 19. Les Œuvres et les Hommes, par J.-B. d'Aurevilly. 25. La France juive. 26. Nouvelles promenades archéologiques, par G. Boissier. Mai 3. Dans le ciel et sur la terre, par Flammarion. 4,9. Histoire des princes de Condé, par M. le duc d'Aumale. 4. Le Carnet d'un ouvrier, par César Cantu. 10 Le Rêve de Paddy et le Cauchemar de John Bull; notes sur l'Irlande. 11. M. de Pène, romancier. 13. Discours et réquisitoires, par M. Dupré-Lasale.

TELEGRAPHE. Avril 24. La France juive. 28. Le Conte fantastique en Angleterre.

TEMPS. Avril 17. Un poète de l'Ukraine; Chevchenko. 20. Lettres d'exil d'Edgar Quinet; 20. Les Progrès du British Museum 24. Les Souvenirs du duc de Broglie. 27. La Correspondance de Tourgueneff. 28. L'Allemagne au temps de Heine. 28. Dickensiana. Mai 1. La Religion de

Pascal. 2. La France juive. 8. La Révocation de l'Edit de Nantes et les Jésuites. 11. Histoire des sarcophages chrétiens.

UNIVERS. Avril 26-27. Vie de Marie-Pauline Janicol.

29. Histoire du cardinal Pie. Mai: 6. Études sur les temps primitifs de l'ordre de Saint-Dominique. 7. Jeanne d'Arc sur les autels, par le P. Ayrolles. 9. 14, 15. De l'Église et de sa constitution, par dom Gréa. 13. La France juive.

VOLTAIRE. Avril : 30. Le Journal des Goncourt. Mai 3. M. Zola plagiaire. 7. Le Don-Juanisme.

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Le recueil de nouvelles que André Theuriet vient de publier chez Lemerre est certainement le plus varié et le plus ardemment coloré que le délicat romancier ait écrit. Bigarreau, qui ouvre le volume, est une chose absolument exquise, d'une rare originalité et qui touche droit au cœur avec une simplicité de moyens, une émotion d'écriture, auxquelles personne ne saurait résister. Presque rien, cependant, l'histoire bien naïve, bien vraie, d'un pauvre garçon de seize ans, surnommé Bigarreau et détenu pour vol dans une maison centrale. Le gamin s'échappe, vit quelque temps dans les bois avec des sabotiers, juste le temps d'aimer et de se faire aimer, et, repris par les gendarmes, meurt d'une fluxion de poitrine. Ce n'est rien et c'est ravissant, cette idylle champêtre, émouvante à tirer les larmes des yeux. La Pamplina est une nouvelle espagnole, d'une terrible couleur de passion, qui flambe sous le chaud soleil de Séville. Amours farouches et violentes, celles-là, et qui tordent dans leurs ardents replis la danseuse Pastora Florès et le séminariste Ramon Olavide. Il y a un furieux diable au corps dans cette aventure de sang

BIBL. MOD. -VIII.

NOUVELLES FACÉTIES

et de volupté. Puis viennent Marie-Angé, l'Oreille d'ours, la Saint-Nicolas, d'une forme parfaite et d'un palpitant intérêt, qui procurent la sensation d'une émotion différente, mais toujours juste et pénétrante. André Theuriet n'a jamais mieux prouvé la diversité et le charme de son talent d'écrivain; il possède, à ravir, l'art d'émouvoir profondément avec des sujets nullement compliqués, des pages déchirées de la vie de chaque jour.

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Le nouveau roman de Marie Colombier est un de ces terribles drames du cœur qui s'abattent de temps à autre au milieu de la société contemporaine, comme pour prouver qu'en ce siècle d'incrédulité et de scepticisme, le cœur et l'amour trouvent encore des passionnés véritables, des victimes, et que, pour nous résumer dans le titre choisi par l'écrivain, on en meurt parfaitement même de nos jours. Détailler le sujet de ce livre serait enlever au lecteur une partie de l'émotion qui l'attend, aussi nous contenterons-nous de le signaler à ceux que peuvent intéresser

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Henri Lavedan, le jeune et original écrivain, dont le premier volume, Mam'zelle Vertu, a été un succès de lecteurs et de lettres, fait paraître un nouveau recueil de nouvelles, qui vient confirmer toutes les promesses données par son brillant début et assurent une bonne place à son auteur dans la littérature moderne. Reine Janvier, le premier de ces récits, ouvre d'une manière tout à fait remarquable la série de ces scènes prises sur le vif, dans un milieu de réalité qui communique aux personnages un relief tout particulier et empoigne aussitôt le lecteur le plus indifférent ou le plus blasé. Il touche avec une grande délicatesse et un véritable bonheur d'expressions la note vibrante de l'émotion se mêlant à la gouaillerie parisienne, au scepticisme qui envahit tout, sans parvenir cependant à étouffer le vrai et le bon. Toutes ces qualités affirmeront le succès de Reine Janvier et des vivants récits qui suivent.

Sous le burnous, par HECTOR France. Paris, Charpentier, 1886. Un vol. in-18 jésus. - Prix : 3 fr. 5o.

Le nom d'Hector France a désormais sa place assurée parmi nos bons écrivains. L'Amour au pays bleu nous avait déjà appris comment il savait peindre cette Algérie, où il a longtemps vécu et pour laquelle il montre une chaude passion. Sous le burnous prouve que jamais le romancier n'est mieux inspiré, plus brillant et plus séduisant que lorsque, faisant appel à ses souvenirs, il se met à peindre les hommes, les femmes et les paysages qu'il a vus là-bas et dont il a gardé une si profonde, une si fidèle impression. Le mot juste et franc lui arrive toujours à propos pour représenter avec une vigueur pénétrante les scenes extraordinaires auxquelles il a assisté, les drames dont il a été témoin. Il nous révele une Algérie encore ignorée, pleine d'étonnements et de mystères pour nos yeux et nos cervelles européennes. Ceux qui le suivront dans ce livre, tout d'observation, auront de véritables surprises et sauront des choses nouvelles, très vraies malgré leur invraisemblance.

Les Cosaques, par le comte LÉON TOLSTOï. Paris, 1886. Un vol. in-18 jésus. - Prix : 3 francs.

Une saveur toute particulière parfume ce volume du comte Léon Tolstoi et lui donne, parmi les romans russes, un vif cachet d'originalité. On pénètre dans l'intimité de la vie de ce peuple particulier, les Cosaques, dont les mœurs sont absolument différentes de

celles des Russes, et qui considèrent presque le Russe comme un ennemi. Toute leur existence se passe à chasser, à pêcher et à se battre contre leurs voisins les Circassiens. Un type de femme tout à fait remarquable eclaire cette interessante étude. Mais, à notre avis, comme intérêt dramatique, les Scènes du siège de Sébastopol l'emportent même sur ce roman les Cosaques. Il y a là des etudes absolument prises sur le vif, sans crainte de dire l'entière vérité, qui sont de terribles tableaux de la guerre et pénètrent à la fois d'horreur, de pitié, d'admiration et de haine pour cette sauvagerie.

La Confession posthume, par PAUL MARGUERITTE. Paris, Giraud et Cie; 1886. Un vol. in-18 jésus. Prix: 3 fr. 50.

M. Paul Margueritte, qui a si brillamment pris place parmi les meilleurs de nos jeunes romanciers modernes avec son roman de début Tous quatre, dont le succès a eté grand dans le monde des lettres, publie un nouveau volume, contenant deux nouvelles : la première donne son titre au recueil. La Confession posthume est l'autobiographie d'un homme qui, après avoir d'abord été attiré par une jeune fille, du nom de Judith, qu'il eût voulu épouser, mais qui se refuse à ce mariage, va se marier en province avec une personne absolument différente de cette première passion, tant au point de vue moral qu'au point de vue physique. Sa femme le trompe; il la surprend, la tue, presque malgré lui, poussé par une brutalité inconsciente, irraisonnée; puis il revoit Judith, et, cette fois, l'épouse. Mais il ne tarde pas à découvrir que, nature bizarre, inquiétante, celle-ci n'a consenti au mariage que par attraction de ce meurtre commis sur l'adultère et pour savoir s'il l'aimerait assez pour la tuer de même, le cas échéant. Il ressent pour elle un insurmontable éloignement et reste indifférent à toutes les preuves de trahison, à tous les adultères qu'elle accumule devant lui pour attiser sa jalousie.

Telle est la trame de cette œuvre, pleine de qualités de premier ordre, mais subissant, à notre avis, des influences toutes littéraires, dont l'auteur ne s'est peut-être pas rendu compte, à mesure qu'il s'éloignait de la réalité, pour se rapprocher de l'énigmatique, du mystère, à force de creuser l'insondable. L'ombre d'Edgar Poë plane sur ce livre; c'est le souvenir des études de femmes du conteur américain qui revient, tenace, lancinant, à l'esprit, quand on lit le nouveau livre de M. Paul Margueritte; on en a l'obsession en plus d'un endroit. En même temps, par d'autres côtés, il se rattache à Guy de Maupassant et à Paul Bourget, ayant de l'un les tendances au compliqué; de l'autre, les scènes de crudité brutale. Il est bien certain que nous n'accusons pas l'auteur d'imitation, et qu'il n'a pas pensé un instant se soumettre aux uns ou aux autres, mais c'est là l'effet invoulu d'un phénomène psychique, dont les manifestations curieuses ne sauraient échapper au critique, pour peu qu'on pousse à fond l'analyse de cette vraiment remarquable étude de mours. Nous ne parlerons que

pour mémoire de la seconde des nouvelles, sans doute une œuvre de jeunesse, visiblement inspirée des Diaboliques de Barbey d'Aurevilly et nullement prise dans la vie. Quant à la Confession posthume, malgré les réserves que nous avons cru devoir faire, c'est une œuvre digne de Tous quatre, qui achève d'affirmer le talent de M. Paul Margueritte.

Hélène, par ANDRÉ THEURIET. Paris, G. Charpentier et Cie; 1886. Un vol. in-18 jésus. - Prix: 3 fr. 5o.

Dans son nouveau roman, d'une dramatique et touchante allure, André Theuriet nous conte avec une émotion communicative l'histoire d'une jeune fille, déplorablement élevée entre les tiraillements d'une famille désunie, allant de son père à sa mère, qui vivent séparés par suite d'incompatibilité d'humeur, se sentant dévorée d'avidités mondaines, de besoins de richesse, et ne trouvant chez elle ni repos ni satisfactions d'aucune sorte. Hélène des Réaux, après la mort de son père, arrivée au moment même où elle se fiançait moralement au jeune musicien Raymond Descombes, qui l'adore, fait son entrée dans le monde, se prend à la jolie figure, aux dehors séduisants du baron de Préfaille, et, par dépit de le trouver indifférent, se laisse marier à un M. de La Roche-Élie, laid, commun, mais fou d'elle et fort riche. Dès lors son supplice commence, entre un mari qu'elle n'aime pas et une vieille fille, la sœur de M. de La Roche-Élie, qui la tracasse, l'espionne et la déteste. Survient M. de Préfaille et la jeune femme sent renaître sa passion pour lui. Une trahison la fait surprendre par son mari, qui la chasse, et elle va mourir misérablement à Paris, abandonnée de tous, même de son amant, et obligée de faire un suprême appel à son ami d'autrefois, Raymond Descombes, qu'elle charge, par testament, de lui rendre les derniers devoirs. C'est une touchante étude, écrite avec un goût exquis, et qui trouvera sa place parmi les meilleures œuvres du romancier, dont la plume délicate sait si bien parler des femmes et s'adresser aux femmes.

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Parmi les nombreuses nouvelles, si variées, si intéressantes, qu'Aurélien Scholl a semées un peu partout, à la fantaisie de sa plume, il en existe un choix de premier ordre; l'étincelant écrivain a bien voulu les réunir en un volume, que publie Victor Havard, pour présenter au public un tout complet. A ce volume, comme épigraphe, qui en puisse immé. diatement indiquer la nature et la valeur, il a donné le titre d'une nouvelle, qui est un véritable bijou de sensibilité vraie et qui a eu un retentissant succès. Tout le monde connaît le Roman de Follette, de cette pauvre petite chienne, perdue dans Paris, après la mort de ses maîtres, menée à la fourrière et finissant d'une manière épouvantable entre les mains féroces

des vivisecteurs. D'après ce titre et cette nouvelle, les lecteurs peuvent juger du choix des historiettes composant ce volume, un de ceux du maître écrivain qui resteront et trouveront toujours le même succès.

Soi, par PAUL ADAM. Paris, Tresse et Stock; 1886. Un vol. in-18 jésus. - Prix : 3 fr. 50.

Il est grand dommage que M. Paul Adam ait gâté à plaisir le très remarquable roman qu'il vient de publier sous ce titre Soi, par l'affectation d'un style souvent emprunté aux décadents. Style maniéré, prétentieux, d'un compliqué antifrançais, d'une assonance bizarre et désagréable. L'étude de femme qu'il a écrite a une couleur toute particulière, un complet égoïsme, l'attrait auquel il est difficile de résister; cette Marthe Grellou, avec le culte aveugle de sa propre personne, qui est comme une adoration perpétuelle, est une manifestation vraiment bien rendue du Soi. L'auteur a peut-être cu le tort de trop appuyer sur le côté gourmand de cet égoïsme, qui fait de la jolie femme une sorte de bête toujours occupée à digérer, prenant plaisir à diluer des jus de viande dans sa bouche, à sentir fluer en elle des sauces exquises; il abuse réellement de ces deux verbes diluer et fluer, qui reviennent avec une fatigante fréquence sous sa plume. Pourtant son roman est une œuvre qui arrive à dominer même ces nombreux défauts, contre lesquels on s'irrite constamment pour les oublier aussitôt, dans l'empoignement d'une observation exacte, d'une peinture heureuse, d'une page réussie. Que l'écrivain se débarrasse de ses fantaisies de style et il sera certainement quelqu'un.

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L'étude de mœurs artistiques et mondaines que Jacques Normand intitule la Madone nous conduit dans ce monde curieux, qui habite le quartier neuf de la plaine Monceau, une société composite d'artistes et de gens qui s'amusent, une petite peuplade aux allures spéciales, dans l'intimité de laquelle il nous introduit pour nous en révéler les mystères. Sa manière brillante, spirituelle, de faire aller et venir les personnages, sa sobriété de descriptions, rappellent constamment le théâtre; tout y est : l'action scénique, le dialogue continuel, une verve qui mousse et pétille comme le vin de Champagne, une folie joyeuse des êtres et des choses. Le sujet est dramatique, le tragique se mêle à la vie de calme, de bonheur, et cependant le lecteur séduit ne reste jamais sous une impression pénible, ni même triste.

Le peintre, affolé par la grisante chair de la Madone, après avoir quitté son intérieur, sa femme, son enfant, voit clair enfin, quitte sa gueuse et revient guéri, repentant, auprès de ceux qu'il n'eût jamais dû abandonner. Le style est léger, rapide, élégant, d'un véritable écrivain. On lira beaucoup ce livre, d'un brio si vif, cette succession de scènes passant avec une allure qui charme sans fatiguer.

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