Chrestomathie française du XIXe siècle: (Prosateurs)F. Payot, 1898 - 664 páginas |
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... tour . « Les malheurs et les vertus d'Atala , lui dis - je , ont été inconnus des hommes ; que sa tombe , creusée furtivement par nos mains , partage cette obscurité . » Nous con- vinmes que nous partirions le lendemain au lever du ...
... tour . « Les malheurs et les vertus d'Atala , lui dis - je , ont été inconnus des hommes ; que sa tombe , creusée furtivement par nos mains , partage cette obscurité . » Nous con- vinmes que nous partirions le lendemain au lever du ...
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... tour à tour se perdait dans le bois , tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit , qu'elle répétait dans son sein . Dans une savane , de l'autre côté de la rivière , la clarté de la lune dormait sans mouvement sur ...
... tour à tour se perdait dans le bois , tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit , qu'elle répétait dans son sein . Dans une savane , de l'autre côté de la rivière , la clarté de la lune dormait sans mouvement sur ...
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... tour à tour en sacri- fice , dans le lac , des pièces de toile , des toisons de brebis , des pains de cire , et de petites meules d'or et d'argent . Bientôt elle touche à la rive , s'élance à terre , attache sa nacelle au tronc d'un ...
... tour à tour en sacri- fice , dans le lac , des pièces de toile , des toisons de brebis , des pains de cire , et de petites meules d'or et d'argent . Bientôt elle touche à la rive , s'élance à terre , attache sa nacelle au tronc d'un ...
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... tour ; de tout temps , enfin , ils ont su ne prendre du sentiment et de la pensée que ce qu'il en faut pour animer l'entretien sans lasser le frivole intérêt qu'on a d'ordinaire les uns pour les autres . Les Français parlent toujours ...
... tour ; de tout temps , enfin , ils ont su ne prendre du sentiment et de la pensée que ce qu'il en faut pour animer l'entretien sans lasser le frivole intérêt qu'on a d'ordinaire les uns pour les autres . Les Français parlent toujours ...
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... tour à tour l'oreille , et nous nous imaginions que c'étaient les esprits célestes qui chantaient . Nous nous servions habituellement , pour ce jeu , des longs cheveux fins , jeunes , blonds et soyeux , coupés aux tresses pendantes de ...
... tour à tour l'oreille , et nous nous imaginions que c'étaient les esprits célestes qui chantaient . Nous nous servions habituellement , pour ce jeu , des longs cheveux fins , jeunes , blonds et soyeux , coupés aux tresses pendantes de ...
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Términos y frases comunes
Alexandre Vinet âme ANTOINETTE Athalie Athos avaient avez beau BOLINGBROKE bras c'était Carmosine chant CHATTERTON cheval chose chrétienne christianisme ciel cœur coup d'Artagnan Dantès derrière devant Dieu dire DONA LUCREZIA DUC DE GUISE DUCHESSE DE GUISE Embabeh enfants êtes eût Extrait faisait femme fille Fraisier Frédégonde GASTON Gavroche GENNARO gens Giseh Gringoire GUÉRIN homme idées j'ai jamais Jean Valjean jeta jeune joie jour Jussac l'air l'âme l'homme laisser littéraire littérature LORENZO MADAME DE RUMIÈRES main malheur mameluks marche marquis ment Mergy MINUCCIO monde monsieur morale mort n'avait nuit œuvres parler paroles passé pauvre pensée père PERRICHON petite peuple PHILIPPE philosophie pieds poète POIRIER porte Porthos premier qu'un QUAKER raison regard reine RÉMONIN reste rien roman s'était Sainte-Beuve sais scène semble sentiment Septmonts serait seul siècle soldats soleil sorte Suleau terre tête tomber tour trouver venait VERDELET VERNOUILLET voilà voix vrai yeux
Pasajes populares
Página 8 - La scène sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres et poussait des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait à mes pieds, tour à tour se perdait dans le bois, tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait dans son sein.
Página 29 - Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois, mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes non sans soupçon, mais comment faire? Là, nous trouvons toute une famille de Charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme ne se fit pas prier: nous voilà mangeant et buvant, lui du moins; car pour moi, j'examinais le lieu et la mine de nos hôtes. Nos...
Página 5 - Homme, la saison de ta migration n'est pas encore venue; attends que le vent de la mort se lève: alors tu déploieras ton vol vers ces régions inconnues que ton coeur demande.
Página 265 - Je levai les yeux, et jamais je n'oublierai le spectacle que je vis. La plus grande partie de la fumée s'était élevée et restait suspendue comme un dais à vingt pieds au-dessus de la redoute. Au travers d'une vapeur bleuâtre, on apercevait derrière leur parapet à demi détruit les grenadiers russes, l'arme haute, immobiles comme des statues. Je crois voir encore chaque soldat, l'œil gauche attaché sur nous, le droit caché par le fusil élevé.
Página 30 - Français, imaginez un peu! chez nos plus mortels ennemis, seuls, égarés, si loin de tout secours humain! Et puis, pour ne rien omettre de ce qui pouvait nous perdre, il fit le riche, promit à ces gens pour la dépense, et pour nos guides le lendemain, ce qu'ils voulurent. Enfin il parla de sa valise, priant fort qu'on en eût grand soin, qu'on la mît au chevet de son lit : il ne voulait point, disait-il, d'autre traversin.
Página 664 - Le cœur a ses raisons, que la raison ne connaît point; on le sait en mille choses. Je dis que le cœur aime l'être universel naturellement, et soi-même naturellement, selon qu'il s'y adonne ; et il se durcit contre l'un ou l'autre, à son choix.
Página 4 - Qu'il fallait peu de chose à ma rêverie! une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s'élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du nord sur le tronc d'un chêne, une roche écartée, un étang désert où le jonc flétri murmurait!
Página 4 - Sans parents, sans amis, pour ainsi dire seul sur la terre, n'ayant point encore aimé, j'étais accablé d'une surabondance de vie. Quelquefois je rougissais subitement, et je sentais couler dans mon cœur comme des ruisseaux d'une lave ardente; quelquefois je poussais des cris involontaires, et la nuit était également troublée de mes songes et de mes veilles. Il...
Página 9 - ... une barbe longue et hérissée, et qui portaient au bras un anneau de fer. Ils avaient juré de ne quitter ces marques de servitude qu'après avoir sacrifié un Romain. Chaque chef, dans ce vaste corps, était environné des guerriers de sa famille.
Página 30 - L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez.