La vie littéraireCalmann-Lévy, 1891 |
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... rêve d'un rêve , on vit . C'est tout ce qu'il faut pour fonder les sciences , les arts , les morales , la critique impressionniste et , si l'on veut , la critique objective . M. Brunetière estime qu'on se quitte soi - même et qu'on sort ...
... rêve d'un rêve , on vit . C'est tout ce qu'il faut pour fonder les sciences , les arts , les morales , la critique impressionniste et , si l'on veut , la critique objective . M. Brunetière estime qu'on se quitte soi - même et qu'on sort ...
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... rêves qu'elle ne put lui donner . D'ailleurs , les amours d'un blanc avec ces petites bêtes jaunes , un peu femmes et un peu potiches , ne sont pas de nature à donner au cœur une paisible allégresse . Ce sont des hymens impies . On ne ...
... rêves qu'elle ne put lui donner . D'ailleurs , les amours d'un blanc avec ces petites bêtes jaunes , un peu femmes et un peu potiches , ne sont pas de nature à donner au cœur une paisible allégresse . Ce sont des hymens impies . On ne ...
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... avait beau dire et beau faire , je ne la croyais pas . Tout mon plaisir était gâlé . Avec les marionnettes , on n'a jamais à craindre un semblable malaise . Elles sont faites à l'image des filles du rêve . Et HROTS WITHA AUX MARIONNETTES.
... avait beau dire et beau faire , je ne la croyais pas . Tout mon plaisir était gâlé . Avec les marionnettes , on n'a jamais à craindre un semblable malaise . Elles sont faites à l'image des filles du rêve . Et HROTS WITHA AUX MARIONNETTES.
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Anatole France. sont faites à l'image des filles du rêve . Et puis elles ont mille autres qualités que je ne saurais exprimer tant elles sont subtiles , mais que je goûte avec délices . Tenez , ce que je vais dire est à peu près ...
Anatole France. sont faites à l'image des filles du rêve . Et puis elles ont mille autres qualités que je ne saurais exprimer tant elles sont subtiles , mais que je goûte avec délices . Tenez , ce que je vais dire est à peu près ...
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... rêves , une épouvante fascinatrice . Comme un moine , il s'écrie chaque matin : Cedant tenebræ lumini Et nox diurno sideri , Ut culpa quam nox intulit Lucis labescat munere . Il est profondément pénétré de l'impureté de la chair ...
... rêves , une épouvante fascinatrice . Comme un moine , il s'écrie chaque matin : Cedant tenebræ lumini Et nox diurno sideri , Ut culpa quam nox intulit Lucis labescat munere . Il est profondément pénétré de l'impureté de la chair ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 311 - L'amour vainqueur et la vie opportune, Ils n'ont pas l'air de croire à leur bonheur Et leur chanson se mêle au clair de lune, Au calme clair de lune triste et beau, Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres Et sangloter d'extase les jets d'eau, Les grands jets d'eau sveltes parmi les marbres.
Página 312 - LE ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville. — Qu'as-tu fait, ô toi que voilà Pleurant sans cesse, Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà, De ta jeunesse?
Página 311 - Votre âme est un paysage choisi Que vont charmant masques et bergamasques, Jouant du luth, et dansant, et quasi Tristes sous leurs déguisements fantasques.
Página 26 - Souvent, à la clarté rouge d'un réverbère Dont le vent bat la flamme et tourmente le verre, Au cœur d'un vieux faubourg, labyrinthe fangeux, Où l'humanité grouille en ferments orageux, On voit un chiffonnier qui vient, hochant la tête...
Página 36 - ... n'est * : elle prie Dieu pour nous, elle est bien heureuse, elle ne se soucie plus de nos misères et calamités : autant nous en pend à l'œil. Dieu gard le demeurant!
Página 26 - II prête des serments, dicte des lois sublimes, Terrasse les méchants, relève les victimes, Et sous le firmament comme un dais suspendu S'enivre des splendeurs de sa propre vertu.
Página 24 - De ses yeux amortis les paresseuses larmes, L'air brisé, la stupeur, la morne volupté, Ses bras vaincus, jetés comme de vaines armes, Tout servait, tout parait sa fragile beauté.
Página 154 - ... dans l'air et, non loin, dans ce pays aimé de nos anciens rois, quelque château ciselé comme un bijou qui me rappelle la vieille France, ce qu'elle a fait et ce qu'elle a été dans le monde : alors je me sens pris d'une infinie tendresse pour cette terre maternelle où j'ai partout des racines si délicates et si fortes...
Página 310 - Coppée donnait son Reliquaire, n'annonçaient point le poète le plus singulier, le plus monstrueux et le plus mystique, le plus compliqué et le plus simple, le plus troublé, le plus fou, mais à coup sûr le plus inspiré et le plus vrai des poètes contemporains. Pourtant, à travers les morceaux de facture, et malgré le faire de l'école, on y devinait une espèce de génie étrange, malheureux et tourmenté. Les connaisseurs y avaient pris garde et M. Emile Zola se demandait, dit-on, lequel...
Página xii - La duperie, s'il faut qu'il y en ait une, c'est de croire et d'enseigner que nous ne pouvons pas sortir de nous-mêmes, quand au contraire la vie ne s'emploie qu'à cela. Et la raison, sans doute, en paraîtra assez forte, si l'on se rend compte qu'il n'y aurait autrement ni société, ni langage, ni littérature, ni art.