Histoire de France: depuis les temps les plus reculés jusqu'en 1789, Volumen7Furne, 1844 |
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... frère Glocester , que Henri V avait désigné pour la régence d'Angleterre ; il se fit , en vertu de son droit d'aînesse , déférer cette régence par le parlement , laissa seulement à Glocester sa lieute- nance pendant son séjour en France ...
... frère Glocester , que Henri V avait désigné pour la régence d'Angleterre ; il se fit , en vertu de son droit d'aînesse , déférer cette régence par le parlement , laissa seulement à Glocester sa lieute- nance pendant son séjour en France ...
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... frère le comte de Comminges au parti français . Le comte de Foix , qui avait traité avec Henri V , ne reconnut pas son Martial de Paris , Vigiles du roy Charles le Septième . Cette espèce de chro - nique en vers n'est pas sans mérite ...
... frère le comte de Comminges au parti français . Le comte de Foix , qui avait traité avec Henri V , ne reconnut pas son Martial de Paris , Vigiles du roy Charles le Septième . Cette espèce de chro - nique en vers n'est pas sans mérite ...
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... frère du comte de Suffolk , qui s'était avancé dans le Maine et l'Anjou avec deux mille cinq cents Anglais sortis de la Normandie ; la moitié de ces Anglais périrent dans le combat , et on leur reprit dix ou douze mille têtes de bétail ...
... frère du comte de Suffolk , qui s'était avancé dans le Maine et l'Anjou avec deux mille cinq cents Anglais sortis de la Normandie ; la moitié de ces Anglais périrent dans le combat , et on leur reprit dix ou douze mille têtes de bétail ...
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... frère le bâtard d'Alençon , et le maréchal de La Fayette , qui tombèrent vivants au pouvoir de l'ennemi ; quatre à cinq mille Franco - Écossais demeurèrent sur la place on fit peu de prisonniers ; la victoire avait coûté aux Anglais ...
... frère le bâtard d'Alençon , et le maréchal de La Fayette , qui tombèrent vivants au pouvoir de l'ennemi ; quatre à cinq mille Franco - Écossais demeurèrent sur la place on fit peu de prisonniers ; la victoire avait coûté aux Anglais ...
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... triomphait à Verneuil , son frère Glocester , le lieutenant - général d'An gleterre , compromettait , pour les intérêts de son ambi tion privée , et les progrès ultérieurs de la cause 20 ( 1424-1425 . ) HISTOIRE DE FRANCE .
... triomphait à Verneuil , son frère Glocester , le lieutenant - général d'An gleterre , compromettait , pour les intérêts de son ambi tion privée , et les progrès ultérieurs de la cause 20 ( 1424-1425 . ) HISTOIRE DE FRANCE .
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Términos y frases comunes
Anglais archers assesseurs assiégeants avaient Bâle bataille Berri Bour Bourbon bourgeois Bourguignons Bretagne c'était capitaines cardinal de Winchester Cauchon cents lances chancelier Charles VII château chefs cheval comte de Charolais comte de Dunois comte de Saint-Pol comte du Maine concile concile de Bâle connétable conseil d'Angleterre d'Armagnac dauphin Déposition devant Dieu duc d'Alençon duc de Bedford duc de Bourgogne duc Philippe Duclercq ennemis envoya états eût femme Flandre forteresses française frère fût garnison gens d'armes gens de guerre Glocester gouvernement Guyenne Henri Hire Jacques Cœur Jean Bureau Jean Chartier Jeanne Darc l'armée l'église l'évêque de Beauvais Loire Louis XI manda maréchal ment mille combattants Monstrelet mort n'avait n'était Normandie Ordonn Orléans paix pape passer pays peuple Picardie Pierre Cauchon princes procès de révision Pucelle régent Reims René reste Richemont Rouen royale royaume s'était sainte Saintrailles secours seigneurs seulement siége sire soldats Suffolk Talbot tion Trémoille troupes voulait
Pasajes populares
Página 221 - Gentille Agnès, plus d'honneur en mérite, La cause étant de France recouvrer, Que ce que peut dedans un cloître ouvrer. Close nonain, ou bien dévot ermite.
Página 152 - Mes bons amis et mes chers enfants, je vous le dis avec assurance, il ya un homme qui m'a vendue ; je suis trahie et bientôt je serai livrée à la mort. Priez Dieu pour moi, je vous supplie; car je ne pourrai plus servir mon roi ni le noble royaume de France.
Página 85 - Vous, duc de Bedford, la Pucelle vous prie et vous requiert que vous ne vous fassiez mie détruire. Si vous lui faites raison, encore pourrez-vous venir en sa compagnie, l'où que les François feront le plus beau fait que oncques fut fait pour la chrétienté 2.
Página 70 - N'at-il pas été dit autrefois que la France, perdue par une femme, serait sauvée par une pucelle, une pucelle des marches de Lorraine ? La femme, c'est la reine Isabeau ; la pucelle, c'est moi.
Página 469 - Recommandez-moi très humblement aux « bonnes graces du roi , et dites-lui qu'il m'a bien fait « laver la tête par son chancelier , mais qu'avant qu'il « soit un an il s'en repentira.
Página 444 - Vendôme, et les autres feudataires de la couronne alors presents, imitèrent le duc Philippe, que le roi remercia grandement de son bon vouloir : le bon duc témoignait ne souhaiter que paix et concorde ; bien qu'il eût de notables sujets de plainte contre les conseillers de Charles VII, après le...
Página 85 - France il n'en fut un si grand, si vous ne faites raison. Et croyez fermement que le Roi du ciel enverra plus de force à la Pucelle que vous ne lui...
Página 119 - ... d'homme. Tandis qu'on discutait encore, on entendit frapper rudement à la porte : c'était Jeanne, qui arrivait sans avoir été prévenue. On l'introduisit, et le chancelier la requit de donner son avis. « Serai-je crue de ce que je dirai? demanda-t-elle, en se tournant vers le roi. — Je ne sais, répondit-il : si vous dites chose raisonnable et profitable, je vous croirai volontiers. — Serai-je crue? reprit-elle avec force. — Oui, selon ce que vous direz. — Noble dauphin, ordonnez...
Página 84 - Pucelle, qui est ici envoyée de par Dieu, le Roi du ciel, les clefs de toutes les bonnes villes que vous avez prises et violées en France. Elle est ici venue de par Dieu pour proclamer le sang royal.
Página 439 - Ah ! s'écriait l'infortuné père , s'il « m'avait une fois parlé, il connaîtrait bien qu'il ne doit avoir ni « doutes ni crainte. Sur ma parole de roi, s'il veut venir vers moi, « quand il m'aura déclaré sa pensée et aura connu mes intentions, «il pourra s'en retourner où bon lui semblera; mais j'ai bonne « espérance que, lorsqu'il connaîtra mon vouloir, il sera plus joyeux « et content de demeurer avec moi, que de s'en aller.