Le livre, Tema 2Octave Uzanne A. Quantin, 1886 |
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
abonnés Alexandre Dumas fils Amis des livres anglais années autographe avant la lettre Balzac biblio BIBLIOGRAPHIE bibliophile bibliothèque bleu broché Brockaus cachet Cahier jaune catalogue Chant Charles CHARLES DICKENS CHRONIQUE DU LIVRE Clément Marot Cologne Contes curieux Delloye demi-rel dessins Dickens double état eaux-fortes écrit éditeurs édition originale Elzevier Escande Euvres exempl exemplaires Fontaine française François Ier frère frontispice Gazette gravées gravures Hetzel Histoire homme illustrée imprimé imprimeurs Jean John Murray Jouaust journal l'auteur l'eau-forte l'édition l'histoire libraire library littéraire LIVRAISON maison Malitourne Marius Michel Marot monsieur Octave UZANNE œuvres orné ouvrages papier de Chine papier de Hollande papier du Japon papier vélin petit pièces Pierre du Marteau Pierre Marteau poète portrait premier publication publié QUANTIN relié reliure Revue Revue d'Édimbourg roman Ruy Blas SAUPHAR seul société texte théâtre tion titre Tony Johannot vente Victor Hugo vignettes volume XVIIIe siècle
Pasajes populares
Página 320 - Provinciales ou les lettres écrites par Louis de Montalte à un provincial de ses amis et aux RR. PP. Jésuites, sur le sujet de la morale et de la politique de ces Pères.
Página 270 - And think'st thou, SCOTT ! by vain conceit perchance, On public taste to foist thy stale romance, Though MURRAY with his MILLER may combine To yield thy muse just half-a-crown per line ? No ! when the sons of song descend to trade, Their bays are sear, their former laurels fade. Let such forego the poet's sacred name, Who rack their brains for lucre, not for fame : Low may they sink to merited contempt, And scorn remunerate the mean attempt ! Such be their meed, such still the just reward Of prostituted...
Página 43 - ... que j'ai cinquantesept ans, je ne dois plus prétendre à l'approbation publique? Cela est dit en quatre vers, que je veux bien vous écrire ici, afin que vous me mandiez si vous les approuvez : Mais aujourd'hui qu'enfin la vieillesse venue...
Página 374 - Balzac va droit au but. Il saisit corps à corps la société moderne. Il arrache à tous quelque chose, aux uns l'illusion, aux autres l'espérance, à ceux-ci un cri, à ceux-là un masque. Il fouille le vice, il dissèque la passion. Il creuse et sonde l'homme, l'âme, le cœur, les entrailles, le cerveau, l'abîme que chacun a en soi.
Página 245 - II faudroit avoir, ce me semble, Quelque joli secret ensemble ; Car enfin les jolis cachets Demandent de jolis secrets, Ou du moins de jolis billets ; Mais comme je...
Página 270 - To yield thy muse just half-a-crown per line? No! when the sons of song descend to trade, Their bays are sear, their former laurels fade. Let such forego the poet's sacred name, Who rack their brains for lucre, not for fame: Still for stern mammon may they toil in vain!
Página 58 - An Account of the Origin and Effects of a Police set on Foot by His Grace the Duke of Newcastle in the Year 1753, upon a Plan presented to his Grace by the late Henry Fielding...
Página 305 - Brunet, notre loi vivante, ne paraît pas le moins du monde avoir connu l'in-4 de 1651, et ceux qui en ont parlé l'ont 'ait uniquement d'après le faux titre de Pierre du Marteau ; je crois donc à l'erreur de Pierre du Marteau, il aura mal daté l'édition unique et rarissime de la veuve Guillemot. En tout cas, si la veuve a donné deux éditions successives, elle a probablement donné à toutes les deux la forme...
Página 246 - ... de ma main, le cachet vous servirait d'indication." Cette pierre représentait un aigle portant dans son bec une couronne d'olivier. Sur quelques mots que ce symbole me suggéra, elle secoua la tète en disant : "Je ne me fais pas d'illusion, il n'ya " plus de bonheur pour moi." Puis après un moment de silence : "Le seul espoir qui me reste, c'est que mon fils pourra du "moins être heureux.
Página 377 - L'avide lecteur s'est emparé de ces livres. Ils jettent l'insomnie dans l'hôtel du riche et dans la mansarde du poète ; ils animent la campagne ; l'hiver, ils donnent un reflet plus vif au sarment qui pétille ; grands privilèges du conteur.