| H. Charlton Bastian - 1882 - 300 páginas
...exécutait immédiatement le mouvement; mais, lorsque ma main était interposée entre la sienne et son oreille, elle n'en avait pas conscience; si j'arrêtais...elle reconnaissait qu'on s'opposait au mouvement. » Dans le récent travail de G.-H. Lewes sur ce sujet, il n'apporte pas de nouveaux arguments contre... | |
| H. Charlton Bastian - 1888 - 332 páginas
...exécutait immédiatement le mouvement; mais, lorsque ma main était interposée entre la sienne et son oreille, elle n'en avait pas conscience; si j'arrêtais...elle reconnaissait qu'on s'opposait au mouvement. » Dans le récent travail de G.-H. Lewes sur ce sujet, il n'apporte pas de nouveaux arguments contre... | |
| Pierre Janet - 1889 - 544 páginas
...je fixais, sans qu'elle pût s'en apercevoir, son bras sur le lit et lui disais ensuite de porter la main à sa tête, il y avait un moment d'effort, puis...en jeu les muscles du côté opposé du corps (elle n'était frappée que d'hémi-anesthésie) elle reconnaissait qu'on s'opposait au mouvementi. » C'est... | |
| Alfred Binet, Henri Étienne Beaunis, Larguier Des Bancels, Théodore Simon, Henri Piéron - 1899 - 946 páginas
...je fixais, sans qu'elle pût s'en apercevoir, son bras sur le lit el lui disais ensuite de porter la main à sa tête, il y avait un moment d'effort, puis...en jeu les muscles du côté opposé du corps (elle n'était frappée que d'hémianeslhésie), elle reconnaissait qu'un s'opposait au mouvement. » Ou... | |
| Eugène Gley - 1903 - 352 páginas
...au milieu du mouvement, elle ne s'en apercevait pas. 1. Des hernies crurales, Thèse de Paris, 18S3. Si je fixais, sans qu'elle pût s'en apercevoir, son...ci-dessus : la malade mettait parfaitement ses muscles en jeu sous l'influence de sa volonté, mais elle n'avait fias conscience de.s mouvements qu'elle exécutait.... | |
| Eugène Gley - 1903 - 376 páginas
...fixais, sans qu'elle pût s'en apercevoir, son bras sur le lit, et lui disais ensuite de porter sa inain à sa tête, il y avait un moment d'effort; puis elle...ci-dessus : la malade mettait parfaitement ses muscles en jeu sous l'influence de sa volonté, mais elle ri avait pas conscience des mouvements qu'elle exécutait.... | |
| Pierre Janet - 1907 - 532 páginas
...je fixais, sans qu'elle pût s'en apercevoir, son bras sur le lit et lui disais ensuite de porter la main à sa tête, il y avait un moment d'effort, puis...de le faire et aussitôt qu'elle était obligée de metlre en jeu les muscles du côté opposé du corps (elle n'était frappée que d'hémi-anesthésie)... | |
| |