La Revue hebdomadaire, Volumen2,Tema 18Librairie Plon, 1893 |
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... demanda Forest à Mme Fontenoy , qu'il examinait avec atten- tion . Non , régulier . Il rentre toujours pour le dîner , ou tout au moins me fait prévenir à l'avance . Ah ! très bien , très bien ! approuva le vieillard . Et ce d'Argilesse ...
... demanda Forest à Mme Fontenoy , qu'il examinait avec atten- tion . Non , régulier . Il rentre toujours pour le dîner , ou tout au moins me fait prévenir à l'avance . Ah ! très bien , très bien ! approuva le vieillard . Et ce d'Argilesse ...
Página 15
... demanda le dilettante , avec une cer- taine méfiance . Simplement parce que ces salons sont remplis de charmantes jeunes filles , et que , dans ce parterre , ce serait , ou jamais , le moment de faire un choix . A trois , la ...
... demanda le dilettante , avec une cer- taine méfiance . Simplement parce que ces salons sont remplis de charmantes jeunes filles , et que , dans ce parterre , ce serait , ou jamais , le moment de faire un choix . A trois , la ...
Página 20
... demanda Edmée sans se troubler . Et je me suis répondu : « Non » , après mûre réflexion . - Aujourd'hui , à la même question , vous pourriez bien répondre : « Oui ! » > -Non ! vous dis - je . Elle n'a pour Descrosses ni estime ni amitié ...
... demanda Edmée sans se troubler . Et je me suis répondu : « Non » , après mûre réflexion . - Aujourd'hui , à la même question , vous pourriez bien répondre : « Oui ! » > -Non ! vous dis - je . Elle n'a pour Descrosses ni estime ni amitié ...
Página 80
... demanda - t - il d'une voix étranglée par l'émotion . -- Oui . Pourquoi ? - Pour rien . Les nôtres sont au marché , et je garde . Allons , allons ! mets - toi près de moi . Il s'assit et resta coi . Cécile se mit à fredonner . - Voilà ...
... demanda - t - il d'une voix étranglée par l'émotion . -- Oui . Pourquoi ? - Pour rien . Les nôtres sont au marché , et je garde . Allons , allons ! mets - toi près de moi . Il s'assit et resta coi . Cécile se mit à fredonner . - Voilà ...
Página 98
... demanda d'un ton très courtois si elle était mariée et combien elle avait d'enfants . Il attendit à peine la réponse , descendit le perron en saluant chacune des personnes présentes , et monta dans sa voiture , où il nous invita à ...
... demanda d'un ton très courtois si elle était mariée et combien elle avait d'enfants . Il attendit à peine la réponse , descendit le perron en saluant chacune des personnes présentes , et monta dans sa voiture , où il nous invita à ...
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Términos y frases comunes
aimait Aline allait âme amour assez beau belle bras c'était Cécile César Franck chant Charles Dupuy charme Chassagny chère Chicago chose Claudine cœur colonel Campbell comte coup d'Argilesse d'Edmée demanda devant dire disait dit-il Écouen Edward Pellew eût Fabien femme fit Edmée fleurs Forest Frémont Gigolettes Gilbert Hâri heures homme j'ai jamais Jean Jean revit jeune fille joie jolie jour Juliette l'air l'âme l'amour l'avait l'Empereur l'Exposition laisser Léandre Maguelonne main maison Malvois mari matin ment messieurs les jurés Mme Campan Mme Chassagny Mme Fontenoy Mme Verseley mort n'avait n'était Napoléon Néocore nuit parler passé Paul Billette pauvre pensée père personne peut-être Philippe Pierrot plaisir pleurer porte pourtant pouvait presque Pryamvadâ Râdhâ regard répondit reste rien Russie s'en s'était s'il sais savait semble sentait serait seule soir sorte sourire symphonie tête tion trouvé vaisseaux venait vieille visage voilà voix voulait World's Yamunâ yeux
Pasajes populares
Página 571 - La critique est, comme la philosophie et l'histoire, une espèce de roman à l'usage des esprits avisés et curieux, et tout roman, à le bien prendre, est une autobiographie. Le bon critique est celui qui raconte les aventures de son âme au milieu des chefs-d'œuvre.
Página 575 - Dans cette bibliothèque silencieuse, que protègent tes vertus militaires, Hamilcar, dors avec la mollesse d'une sultane ! Car tu réunis en ta personne...
Página 568 - Tout s'éteint ! Elle est lasse et n'est point apaisée. Elle n'a pas donné tout l'amour de son cœur, Et ses regards encor, sous la chaude rosée, Traînent une inquiète et profonde lueur. Solitaire, du fond de sa grande détresse, Tendant au ciel son âme et ses ardentes mains, Elle cherche, dans l'air du soir qui la caresse, De plus tendres Esprits et des Dieux plus humains. Elle voudrait savoir dans quelle ombre divine, Sous quel palmier mystique, en quel bran endormi Brille l'Enfant céleste...
Página 138 - Sa gaîté, comme sa chandelle, hélas! est morte, Et son spectre aujourd'hui nous hante, mince et clair. Et voici que parmi l'effroi d'un long éclair Sa pâle blouse a l'air, au vent froid qui l'emporte, D'un linceul, et sa bouche est béante, de sorte Qu'il semble hurler sous les morsures du ver. Avec...
Página 458 - Lorsqu'on met sur la scène une simple intrigue d'amour entre des rois , et qu'ils ne courent aucun péril , ni de leur vie , ni de leur état , je ne crois pas que bien que les personnes soient illustres ' , l'action le soit assez pour s'élever jusqu'à la tragédie.
Página 458 - Sa dignité demande quelque grand intérêt d'Etat, ou quelque passion plus noble et plus mâle que l'amour, telles que sont l'ambition ou la vengeance, et veut donner à craindre des malheurs plus grands que la perte d'une maîtresse. Il est à propos d'y mêler l'amour, parce qu'il a toujours beaucoup d'agrément, et peut servir de fondement à ces intérêts, et à ces autres passions dont je parle ; mais il faut qu'il se contente du second rang dans le poème, et leur laisse le premier.
Página 459 - J'estime donc qu'il s'y en peut rencontrer de quatre sortes. La première consiste aux sentences et instructions morales qu'on y peut semer presque par-tout : mais il en faut user sobrement, les mettre rarement en discours généraux, ou ne les pousser guère loin, sur-tout quand on fait parler un...
Página 561 - O toi qui naquis la première, 0 nourrice des fleurs et des fruits, ô Lumière, Blanche mère des visions. Tu nous viens du soleil à travers les doux voiles Des vapeurs flottantes dans l'air : La vie alors s'anime et, sous ton frisson clair, Sourit, ô fille des étoiles ! Salut ! car avant toi les choses n'étaient pas. Salut ! douce ; salut ! puissante. Salut ! de mes regards conductrice innocente Et conseillère de mes pas. Par toi sont les couleurs et les formes divines, Par toi, tout ce que...
Página 460 - Messieurs, ditil, je ne suis pas si grand seigneur que vous; mais enfin j'ai été roi tout comme un autre; je suis Théodore; on m'a élu roi en Corse; on m'a appelé Votre Majesté, et à présent à peine m'appelle-t-on Monsieur : j'ai fait frapper de la monnaie, et je ne possède pas un denier; j'ai eu deux secrétaires...
Página 561 - BARBARES EN TÉMOIGNAGE D'UNE VIVE ET CONSTANTE ADMIRATION CE LIVRE EST DÉDIÉ A A LA LUMIERE Dans l'essaim nébuleux des constellations, O toi qui naquis la première, O nourrice des fleurs et des fruits, ô Lumière, Blanche mère des visions, Tu nous viens du soleil à travers les doux voiles Des vapeurs flottantes dans l'air : La vie alors s'anime et, sous ton frisson clair, Sourit, ô fille des étoiles!