Histoire des ducs de Bourgogne, de la maison de Valois, 1364-1477, Volumen5Ladvocat, 1826 |
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... royaume . » Savez - vous des nouvelles de monseigneur ? » > répondirent - ils . Il montra la terre de son doigt , et ajouta : « Je vous conseille de rendre le châ- >> teau . » Ils refusèrent encore . Les chevaliers du Dauphin leur ...
... royaume . » Savez - vous des nouvelles de monseigneur ? » > répondirent - ils . Il montra la terre de son doigt , et ajouta : « Je vous conseille de rendre le châ- >> teau . » Ils refusèrent encore . Les chevaliers du Dauphin leur ...
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... royaume que ce qui appartenait au Duc dans le château serait remis par inventaire aux gens du Dauphin , qui en signeraient quit , tance , et que , quant à eux , on allait les con- duire à Bray . Ils acceptèrent , et s'y rendirent . sur ...
... royaume que ce qui appartenait au Duc dans le château serait remis par inventaire aux gens du Dauphin , qui en signeraient quit , tance , et que , quant à eux , on allait les con- duire à Bray . Ils acceptèrent , et s'y rendirent . sur ...
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... royaume de résister de tout leur pouvoir aux damnables projets et entreprises des cri- minels , séditieux , infracteurs de la paix et de l'union , conspirateurs , coupables et consen- tans à l'homicide du feu duc de Bourgogne : d'en ...
... royaume de résister de tout leur pouvoir aux damnables projets et entreprises des cri- minels , séditieux , infracteurs de la paix et de l'union , conspirateurs , coupables et consen- tans à l'homicide du feu duc de Bourgogne : d'en ...
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... royaume ne fussent toujours en grande crainte et aversion au peuple de Paris ; mais il était si malheureux , ceux qui le conduisaient avaient entretenu en lui une telle horreur pour les Ar- magnacs , les garnisons que le parti du Dau ...
... royaume ne fussent toujours en grande crainte et aversion au peuple de Paris ; mais il était si malheureux , ceux qui le conduisaient avaient entretenu en lui une telle horreur pour les Ar- magnacs , les garnisons que le parti du Dau ...
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... royaume ; 2 ° . de laisser au roi Charles la jouissance de sa couronne et les revenus du royaume pendant sa vie ; 3 ° . qu'après sa mort , la couronne de France serait dévolue à jamais au roi Henri et à ses héritiers ; 4 ° . qu'à cause ...
... royaume ; 2 ° . de laisser au roi Charles la jouissance de sa couronne et les revenus du royaume pendant sa vie ; 3 ° . qu'après sa mort , la couronne de France serait dévolue à jamais au roi Henri et à ses héritiers ; 4 ° . qu'à cause ...
Términos y frases comunes
archers armée arriva assiégés avaient bastille bataille bâtard d'Orléans Berri Blois bonne Bourguignons c'était capitaines Charles château chevaliers chose Chronique commença comte de Clermont comte de Richemont comte de Saint-Pol comte de Salisbury comte de Suffolk connétable conseil conseillers cousin d'Angleterre Daulon Dauphin Dauphinois défendre Déposition devant Dieu duc d'Alençon duc de Bedford duc de Bourgogne duc de Brabant duc de Glocester duc de Savoie duc Jean duc Philippe duché duchesse ennemis envoya Fenin firent Flandre forteresse garnison gens d'armes gens de guerre glais gogne habitans Hainaut Harcourt Henri Hire Histoire de Bourgogne Hollande Hollinshed hommes d'armes Jean de Luxembourg Jeanne jour Journal du siége Juvénal laisser long-temps madame Jacqueline maréchal Mémoires de Richemont Messire Monstrelet mort n'était nobles Orléans paix père peuple pouvait prince prisonnier Pucelle régent anglais royaume s'était saint Saintraille secours seigneur serment serviteurs Tanneguy Tanneguy Duchâtel traité traité de Troyes Troyes venir vint voulait
Pasajes populares
Página 290 - Pour mieux éclaircir des doutes si graves , le roi s'en alla à Poitiers, et y fit conduire Jeanne. L'Université de cette ville était célèbre ; le parlement de Paris y siégeait. C'était un lieu où l'on ne pouvait manquer d'avoir de grandes lumières et de sages conseils. Aussi Jeanne disait-elle en chevauchant pour s'y rendre: « Je sais bien que j'aurai fort à faire » à Poitiers, où l'on me mène; mais Mes
Página 116 - Paris, les habitants, au milieu de leurs souffrances et sous le dur gouvernement des Anglais, avaient vu avec allégresse leur pauvre roi revenir parmi eux, et l'avaient accueilli de mille cris de «Noët.
Página 287 - Le Roi des cieux vous mande par moi que vous serez sacré et couronné en la ville de Reims, et vous serez lieutenant du Roi des cieux, qui est roi de France.
Página 283 - Il fallait s'écarter des chemins fréquentés , prendre gîte dans les hameaux, chercher route à travers les forêts , passer les rivières à gué , durant l'hiver. Jeanne aurait eu peu de souci de telles précautions ; elle ne craignait rien ; rassurée par ses visions , elle ne doutait pas d'arriver jusqu'au Dauphin. Son seul déplaisir, c'est que ses conducteurs ne lui permettaient point d'entendre chaque jour la messe. Eux, au contraire, ne partageaient guère sa confiance. Souvent ils hésitaient...
Página 38 - ... au duc de Bourgogne. Il fallut qu'il donnât à plusieurs d'entre eux le commandement formel de jurer cette paix, qui leur semblait une trahison. Il eut grand'peine à y décider Jean de Luxembourg et Louis son frère, évêque de Thérouenne:
Página 355 - éperons seront d'usage pour les poursui» vre. » Ce fut alors que l'on se résolut à marcher après eux vers Janville, à travers la Beauce. La Pucelle encourageait tout le monde : « En » mon Dieu , disait-elle , il les faut combattre. » Quand ils seraient pendus aux nues, nous » les aurons ; car Dieu nous a envoyés pour » les punir. Le gentil roi aura aujourd'hui » la plus grande victoire qu'il ait jamais eue ; » mon conseil m'a dit qu'ils étaient à nous. » En même temps le connétable...
Página 284 - Arrivée à Gien , elle se trouva sur terre française ; là elle apprit plus en détail les malheurs et les dangers de la ville d'Orléans. Elle dit hautement qu'elle était envoyée de Dieu pour la délivrer , puis faire sacrer le Dauphin. Le bruit de ces paroles se répandit, et vint jeter quelque bonne espérance au cœur des pauvres assiégés. Les voyageurs ne voulurent point arriver droit auprès du roi à Chinon. Ils s'arrêtèrent au village de Sainte-Catherine-de-Fierbois. Là, Jeanne fit...
Página 200 - Saintraille, se trouvant de loisir, y était venu avec les seigneurs de Picardie, contre lesquels il guerroyait d'habitude. Il n'y avait que deux cents Anglais dans la ville ; mais les bourgeois avaient pris les armes pour eux. Les assiégeans étaient nombreux ; ils avaient de fortes machines de guerre. La garnison n'espérait point être secourue; elle se rendit sous condition d'avoir la vie sauve , et que la ville pourrait se racheter moyennant une somme d'argent. Mais comme les Anglais, ayant...
Página 288 - Et il se trouvait précisément que peu auparavant, le roi, accablé de ses chagrins et presque sans espérance , s'était retiré en son oratoire ; là , il avait , au fond de son cœur et sans prononcer de paroles, prié Dieu que s'il était véritable héritier descendu de la noble maison de France, et que le royaume dût justement lui appartenir, il plût à sa divine bonté de le lui garder et défendre; du moins , de lui épargner la prison et la mort en lui accordant refuge chez les Écossais...
Página 314 - Ecrit ce samedi de la semaine sainte. » Entrée dans Orléans, elle prit soin d'envoyer encore signifier une lettre pareille aux chefs anglais; ils s'en montrèrent fort courroucés; ils dirent de grandes injures de la Pucelle , l'appelèrent ribaude et vachère ' , menacèrent de la brûler , s!ils la tenaient ; leur colère était même si grande , qu'ils retinrent un des hérauts , et voulaient le condamner au feu comme hérétique. Cependant ils en écrivirent auparavant à l'Université de...