Imágenes de páginas
PDF
EPUB

LA DEUXIÈME SÉRIE COMPREND

LES LETTRES DE VOLTAIRE, par M. DE LOMÉNIE. par M. HENRY MARTIN.

VERCINGÉTORIX,

LA FEMME EN FRANCE AU XIX SIÈCLE, par

M. ERNEST LEGOUVÉ.

FABLES, par M. VIENNET. LA LÉGISLATION

UN ÉPI

CRIMINELLE EN FRANCE AU XVIII SIÈCLE, par M. ALBERT GIGOT.
LES FABLES DE LA FONTAINE, par M. SAINT-MARC GIRARDIN.
SODE DE L'HISTOIRE DE HOLLANDE, par M. LEFÈVRE -PONtalis.
HENRI IV, par M. EUG. YUNG. DISCOURS D'ADIEU, par M. ODILON
BARROT.

PARIS.

IMP. SIMON RAÇON ET COMP.. RUE D'ERFURTH. !.

CONFÉRENCES

LITTÉRAIRES

DE LA SALLE BARTHÉLEMY

PREMIÈRE SÉRIE

DISCOURS D'OUVERTURE - par M. SAINT-MARC GIRARDIN
JEAN REYNAUD - par M. ERNEST LEGOUVÉ
CHANSONS POPULAIRES SLAVES par M. ED. LABOULAYE
FABLES par M. LACHAMBEAUDIE

JEANNE DARC - par M. HENRY MARTINE
DANTE - par M. FOUCHER DE CAREIL

LA MONNAIE

L'ISTHME DE SUEZ

[blocks in formation]
[ocr errors]
[graphic][subsumed][subsumed][subsumed][subsumed][subsumed][merged small]

LIBRAIRIE ACADÉMIQUE
DIDIER ET CIE, LIBRAIRES-ÉDITEURS

55, QUAI DES AUGUSTINS, 55

[blocks in formation]

AVERTISSEMENT

Les conférences de la salle Barthélemy ont produit une impression réelle. C'est le premier essai d'une liberté, bien restreinte encore et bien vite arrêtée, mais importante et nouvelle, la liberté de l'enseignement supérieur et populaire. Le désir de soulager d'héroïques infortunes qui a servi de point de départ à ces conférences, n'en est peut-être pas le côté principal; ce qui en fait le fond, ce sont les rapports établis pour la première fois chez nous entre une assemblée de trois mille personnes, une assemblée populaire, et l'enseignement réservé jusqu'ici aux esprits lettrés. A ce titre, il nous a paru que l'ensemble de ces conférences pouvait avoir un attrait réel pour le public. La simple énu

mération des titres de ces diverses leçons prouvera que, dans ce court espace de dix séances, ont été abordées quelques-unes des plus hautes questions sociales, historiques, morales et littéraires. Les professeurs ont approprié ces questions à leur auditoire, non pas en les rapetissant, mais en les traitant d'une façon à la fois plus simple et plus forte, c'est-à-dire en mettant toujours en lumière, dans les idées, les idées les plus générales; dans les faits, le côté le plus humain et le plus pathétique. Il y avait, il faut le dire, dans ces conférences une double leçon, leçon pour les auditeurs, leçon pour les professeurs, et les professeurs n'étaient pas ceux peut-être qui y gagnaient le moins! Ce recueil aura donc, nous le croyons, quelques titres à l'attention des hommes sérieux, comme un souvenir, comme un regret, et peut-être comme une espérance.

« AnteriorContinuar »