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En petits chapitres secs, M. Jacques Madeleine, un débutant, nous donne une sèche et brutale analyse de l'état de désorganisation morale et physique auquel peuvent atteindre deux êtres qui, se connaissant depuis la plus tendre enfance, ont débuté par des privautés d'allure suspecte, par un libertinage de gamins, pour arriver à former Un couple uni par la fureur malsaine du vice et que rien ne saurait plus désunir que la mort. Cette étude ne manque certes pas de talent, et l'exigeante domination de la chair y est peinte avec un certain bonheur. Mais ce qui y domine, accentué autant par la coupe voulue des chapitres que par un persistant parti pris de l'auteur, c'est la sécheresse générale, un manque d'émotion empêchant de s'intéresser aux héros, comme on le désirerait. La vie n'est pas ainsi, toujours au même diapason aigu. Leur cynisme absolu, continu, sans aucune détente, finit par gagner le lecteur, qui ne parvient pas

BIBL. MOD. - XI.

à se passionner pour eux et qui contemple leurs. ébats, leurs vices sans se sentir touché, devenu cynique lui-même. C'est certainement là le gros défaut de cette œuvre, écrite par quelqu'un qui sait et qui a de l'observation.

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Ce qui fait la réelle valeur du livre de l'amiral Pallu de La Barrière, ce n'est pas seulement la diversité des histoires contées, le saisissant intérêt des anecdotes, le curieux pittoresque des aventures, c'est surtout la profondeur de la pensée et la haute qualité de l'observation. Ce n'est pas, en effet, purement l'oeuvre d'un amuseur ou d'un voyageur, c'est l'œuvre d'un philosophe de large envergure, d'un penseur, d'un analyste très subtil. Nul ne nous semble avoir mieux parlé des Gens de la mer avant lui, nul ne les a plus heureusement étudiés sous toutes les formes, dans tous les instants de leur existence peu connue. Ce récit, sans grandes prétentions, sans recherches

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de gros effets, atteint par sa simplicité même les sommets les plus élevés du drame et saisit le cœur avec une puissance irrésistible, parce qu'on sent que tout y est vrai, que tout y est vu, que tout y est senti et vécu. M. Pallu de La Barrière est assurément le premier de nos écrivains maritimes qui ait su nous donner la sensation vraie de la vie sur mer, la connaissance exacte de ces hommes spéciaux qui sont les marins, les hommes de la mer. Son étude est d'autant plus saisissante qu'elle porte sur les plus humbles de ces héros inconnus qui.bravent à chaque instant la mort; ce qu'il nous raconte, ce sont les péripéties du voyage d'un pauvre bateau marchand faisant le commerce du guano, et il faut être un maître pour tirer de la relation d'un si obscur métier l'impression forte et pénétrante qu'il a su en dégager. Nombre de ses observations sont des documents de premier ordre sur ces braves gens, ces courageux, ces martyrs de la vie simple, dont l'existence est tout entière comprise entre les deux mots devoir, dévouement; nous plaçons volontiers Les gens de mer au nombre des meilleurs écrits de notre temps et leur auteur parmi les littérateurs de grande race.

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L'heure semble propice à tout ce qui se rattache à Stendhal, à ses œuvres; il y a dans les tendances actuelles un retour très accentué vers la psychologie, vers le roman d'analyse, tout en profitant des enseignements, des procédés que le naturalisme a indiqués aux écrivains modernes. Ce qu'il y a de plus curieux, c'est que Stendhal lui-même, dans les notes accompagnant le roman inédit dont nous allons parler, semble indiquer qu'il est disposé, dans une certaine mesure, à sacrifier aux règles de la mode de son temps, tout comme nous voyons certains de nos jeunes écrivains faire ce qu'on pourrait appeler de la psychologie naturaliste, ou mieux, documentaire.

Un délicat, un ami des lettres, auquel on doit déjà, en collaboration avec M. François de Nyon, la publication du Journal de Stendhal, M. Casimir Stryienski, a eu la bonne fortune de découvrir à la bibliothèque de Grenoble et la patience. de déchiffrer, en dépit de son illisible écriture, un roman inédit de Stendhal. Ce manuscrit datant de 1839 1840, c est-à-dire de la même époque que La chartreuse de Parme, est, bien que non terminé complètement, un des documents les plus précieux et les plus instructifs que l'on puisse joindre aux plus fameuses œuvres du

célèbre écrivain. De plus, les notes jointes, un dessin, une biographie des personnages, un avant-propos, donnent des renseignements absolument ignorés sur la manière dont Stendhal composait ses romans, et ne sont pas les pages les moins intéressantes de ce très curieux ouvrage.

Lamiel est l'histoire d'une jeune paysanne normande, proche parente par le caractère, l'âme, le cœur, des héros les plus amoureusement étudiés par le grand romancier. Cette jeune fille, recueillie par un maître d'école dans un hospice d'enfants trouvés, élevée au rang de lectrice par une duchesse, puis dépravée moralement par un ambitieux médecin bossu et menant une vie accidentée de Manon Lescaut, est une création absolument extraordinaire, un caractère tout à fait en dehors de ceux que l'on a pu s'amuser à peindre, à expliquer, avec sa passion de l'action, de l'énergie insufflée par de premières lectures et poussée plus tard jusqu'à l'amour pour les grands criminels, presque au crime, avec aussi son mépris des fadeurs, des politesses, de la banalité courante de la vie et du monde. En ce sens, Stendhal a fait là une œuvre aussi saisissante que le Rouge et le Noir; sa Lamiel, étrange, terrible, est le pendant de l'inoubliable Julien Sorel. 11 faut lire attentivement cette œuvre, la suivre dans tous ses détails pour en savourer la dangereuse saveur, pour admirer l'art d'analyse, la science psychologique du maître, vers lequel se tournent en ce moment beaucoup de jeunes ambitions littéraires.

Norine, par FERDINAND FABRE. Paris, G. Charpentier et Cie, 1889. Un vol. in-18 jésus. Prix 3 fr. 50.

Le grand charme qui se dégage de Norine, la nouvelle œuvre de Ferdinand Fabre, est autant dû à sa forme littéraire, si séduisante, si particulière, qu'à la sincérité du récit, à sa délicieuse simplicité, à sa bonhomie élégante et communicative, à l'émanation de vraie nature, dont le souffle pur, le parfum simple, passent entre les pages frissonnantes. L'amour passionné du pays natal communique au remarquable écrivain une éloquence qui va directement au cœur et sait toucher les fibres les plus intimes, les plus douces de l'être humain. Ce n'est rien, presque rien, cette jolie histoire de Norine, et pourtant nul ne saurait la lire sans se sentir profondément ému, tant elle est baignée du sentiment véritable de la réalité, tant elle se trouve d'accord avec vos plus délicates sensations d'âme et d'esprit.Il était difficile de s'attaquer à un sujet plus humble pour

en tirer des accents plus pénétrants, de descendre plus bas dans l'échelle sociale pour s'élever plus haut dans la peinture des émotions du cœur ; mais, c'est que, en narrant les mœurs de ces pauvres paysans cévenols, en les montrant dans la rude simplicité de leur existence au pays, dans l'apre labeur de leur vie active à Paris, le romancier a su mettre tous ses regrets, toutes ses joies, quelque chose de lui-même, qui est l'arome exquis du livre et lui donne l'irrésistible vibration de la vie. Ce volume s'adresse aux délicats, aux lettrés, par son style, par son art de la phrase et de la langue; il s'adresse aux gens de cœur, il s'adresse à tous par sa tendresse émue, par sa profonde humanité, et il comptera parmi les plus heureuses productions du maître écrivain.

Un premier amant, par ARMAND SILVESTRE.
Paris, G. Charpentier et Cie, 1889. Un vol.
in-18 jésus.
Prix 3 fr. 50.

C'est un véritable livre de poète, de franc et passionné amoureux de la belle nature que le roman publié par Armand Silvestre sous ce titre : Un premier amant. Les superbes paysages s'y succèdent, tout parfumés de senteurs printanières, les floraisons de belles fleurs y éclosent en gerbes touffues, et c'est partout comme une senteur latente d'amour se dégageant des dessous de bois pour envahir le cœur, charmer la chair. Plaçant son action en plein jardin de la France, ainsi qu'en une oasis cythéréenne, il nous montre les amoureux faisant éperdument l'amour au beau pays de Touraine. L'adultère de Marthe de Prades et d'André Maurienne y fait pendant à l'idylle de Claude Lundi avec Claire de Lys. Après nous avoir conduit à travers toutes les péripéties de cette passion en partie double, l'écrivain nous amène à l'épilogue si dramatique, la mort des deux amants de Marthe, mis face à face pour un duel sans merci par le mari outragé. Puis on voit entin Claude épouser Claire, et mettre, comme une lueur d'aurore, le symbole de l'éternelle renaissance dans cette fin tragique. Le volume déroule son action à travers les chants d'amour, les cantiques à la louange de la beauté, long et triomphant épithalame de bonheur, de plaisir, un seul instant assombri, pour finir en joyeux hyménée.

G. T.

The Twilight of the Gods, and other Tales, by RICHARD GARNETT. London, T. Fisher Unwin; 1888. Un vol. in-8°.

Ce beau volume est un recueil de nouvelles et de courts récits publiés pendant le cours de

ces dernières années dans différentes revues anglaises par Mr. Richard Garnett, auteur de Vie de Carlyle et d'autres ouvrages en vers et en prose justement estimés. Un soin artistique de la forme de moins en moins rare chez les écrivains d'outre-Manche, une recherche archéologique, et parfois, comme dans The Potion of LaoTsze et Abdallah the Adite, un goût pour l'exotisme oriental qui, tout en prêtant à la richesse et à l'éclat des couleurs, n'excluent en rien l'abondance et l'ingéniosité de l'imagination, telles sont les qualités qui me paraissent distinguer les Tales de Mr. Richard Garnett. Elles valent assurément la peine d'être réunies en volume, étant bien audessus du niveau de la littérature courante qui alimente les innombrables magazines de la GrandeBretagne et des États-Unis. Ce sont de petites compositions artistement conçues et finement exécutées. A ce titre, elles méritent de prendre rang parmi les productions où la critique doit rechercher les caractères et les tendances littéraires d'une époque et d'un pays.

B.-H. G.

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Jusqu'ici, les Euvres de M. André Theuriet, dans la Petite Bibliothèque littéraire de Lemerre, ne comprenaient que trois volumes, celui des Poésies, un volume de Nouvelles et Sauvageonne. Madame Heurteloup, qui forme aujourd'hui le quatrième, parut d'abord en 1882. Il avait été précédé de Véronique, le premier roman, croyons-nous, de M. Theuriet, puis de Mademoiselle Guignon en 1874, du Mariage de Gérard, de Raymonde, de Sauvageonne en 1881. Il eut un très grand succès. C'est dans le pays messin que se déroulent les événements qui forment le fond de ce drame très simple et très émouvant de la vie de province. La vieille Mme Heurteloup, cette fille de conventionnel, qui poursuit de sa haine les messieurs de Saint-André, moins parce qu'ils appartiennent à une race aristocratique - fort déchue en effetque parce qu'elle a aimé autrefois Jean de SaintAndré, est une figure vigoureusement tracée, qui fait encore mieux ressortir le contraste charmant de sa nièce Loïse, et de Charmette de SaintAndré, dont le frère Vital est aussi généreux, aussi élégant dans sa simplicité de gentilhomme ruiné, que son oncle Jean est grossier dans ses amours vulgaires avec les filles de ferme et Angélique, la servante-maîtresse. Tout finit bien, par le mariage de Vital et de Loïse, et même par retour de la vieille Mme Heurteloup à des sentiments plus humains et plus féminins. A bientôt la suite

des romans de M. Theuriet dans ce format maniable et élégant. Souhaitons cependant que chaque roman porte la date de sa première publication. C'est chose importante en matière d'histoire littéraire

L'Ame des choses, par AUGUSTE BLONDEL, préface par A. Theuriet. Paris, 1889; Alphonse Lemerre, éditeur. Un vol. in-16.- Prix: 3 fr. 5o.

Nous n'avons jamais bien compris l'utilité de ces préfaces dont on use tant aujourd'hui et où des écrivains connus présentent au public des écrivains qui le sont moins et souvent pas du tout. Ces préfaces, qui sont presque toujours une œuvre de camaraderie ou de complaisance, n'en imposent pas au public et l'indisposent souvent. « Pour qui donc me prend ce monsieur, dit plus d'un lecteur; croit-il donc que je ne saurais pas me plaire à son livre, s'il est bon, et, s'il est mauvais, espère-t-il que je vais ôter mon chapeau à cause de la préface, où l'on a essayé de me prendre pour dupe?» Nous pouvons d'autant mieux, dans le cas présent, nous exprimer avec franchise sur cet abus des Préfaces, qui ressemblent à des billets à ordre avec endossement tirés sur le public, que M. Auguste Blondel pouvait parfaitement s'en passer. Le succès lui serait venu sans cela, car son recueil de nouvelles est charmant. Mais ne lui soyons pas trop sévère pour s'être laissé allé, lui aussi, à une mode devenue générale parmi les jeunes écrivains: sa faiblesse nous vaut de belles et viriles pages de M. André Theuriet sur le roman en général et la nouvelle en particulier. L'auteur de l'Amoureux de la préfète et de Bigarreau est un maître dans l'un et l'autre genre, et il en parle en maître. Quant à M. Auguste Blondel, auquel on devait déjà une excellente étude sur Topffer, il rappelle quelquefois, par sa gràce et sa finesse, le célèbre auteur genevois. Mais avant tout il est original, soit qu'il se livre au courant de sa fantaisie, comme dans l'Ame des choses, qui sert de titre à tout le recueil, Saint-Ferréol, la' Double vie, soit qu'il serre de près la réalité, comme dans les touchants récits: Louise, Sous l'acacia, etc., etc.

E. A.

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ces de caractères féminins, vues parfois à travers un caractère d'homme, et d'homme amoureux, ne suffiraient pas à fonder la réputation d'un écrivain, mais elles ne sont pas pour nuire à celle de M. Paul Bourget. Les femmes aiment toujours beaucoup qu'on leur voue un culte, mais quand la satire entre dans le rituel du culte et la flagellation dans ses cérémonies.

Plusieurs de ces portraits sont en réalité des nouvelles plus ou moins développées, et les plus intéressantes plutôt pour les détails d'analyse et les descriptions des milieux, naturellement, que pour l'invention des incidents dont M. Paul Bourget ne se met pas fort en peine sont l'autobiographie de Gladys Harvey, encadrée de faits quelconques particuliers à l'écrivain; Madame Bressuire, Inconnue, poignant récit dans lequel est évoqué le souvenir d'un homme de lettres qui s'acquit un renom fugitif dans la presse contemporaine et que la folie saisit pour le mener à la mort.

En dénommant ces études Pastels, M. Paul Bourget a bien choisi son titre : il répond très exactement à la nuance atténuée, au demi-ton, aux contours légers de ces portraits, qui ont le charme attendrissant ce quelque chose de mélancoliquement ancien qui caractérise le dessin au pastel.

PZ.

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La Tresse blonde, tel est le titre du nouveau' roman de M. Gilbert-Augustin Thierry que vient de faire paraître la Maison Quantin. Publié d'abord dans la Revue des Deux Mondes, où il a obtenu un vif succès, ce livre se recommande à toute la curiosité du grand public. L'auteur de l'Ame en peine et du Palimpseste y déploie en effet cette originalité un peu étrange qui, jointe à de rares qualités de style, en fait un écrivain si personnel. Le redoutable problème de la suggestion, cette mystérieuse énigme qui de nos jours bouleverse tant de consciences, est le sujet que M. Thierry a voulu traiter dans la Tresse blonde, et il l'a fait avec une véritable puissance dramatique. Il y soulève en même temps une des questions les plus troublantes de toute philosophie comme de toute religion: la liberté de l'àme humaine; les conclusions de l'auteur, dans son fatalisme pessimiste, sont presque une négation absolue. Aussi, dès son apparition, ce roman a-t-il suscité bien des controverses; il en fera naître encore. Quoi qu'il en soit, le public pensant et

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lettré voudra connaître cette œuvre curieuse, ce livre d'une lecture si passionnante.

Les Belfield, par MISS BRADDON, traduction de l'anglais par Germaine Mellor. Paris, 1889, Maison Quantin, 7, rue Saint-Benoît. Deux vol. in-16, illustrés de nombreux dessins. - L'ouvrage complet, broché : 4 francs.

Par ce temps d'études pimentées et de volumes de haut goût, il peut être agréable de se rafraîchir l'imagination à la lecture d'ouvrages où dominent la pureté des sentiments et l'honnêteté des mœurs. C'est dans ce but que nous avons plaisir à signaler en première ligne à nos lecteurs: les Belfield, deux volumes de miss Braddon, traduits de l'anglais par Germaine Mellor.

L'action, des plus attachantes, se passe en Angleterre. Lady Belfield, restée veuve avec deux enfants, Adrian et Valentin, se consacre au bonheur de ses fils qui forment le contraste le plus frappant: autant Adrian est intelligent, aimant, autant Valentin est borné, égoïste, violent. Celui-ci ne tarde pas à devenir la proie d'une coquette, Hélène Deverill, qu'il épouse, puis qu'il délaisse. Hélène jure de se venger, mais son mari survient à l'improviste et la tue net. Tout se découvre; l'assassin est condamné; il meurt en demandant pardon à sa mère.

L'auteur a dépeint dans le cours de ce roman, avec beaucoup de vérité, les mœurs des gentlemen anglais qui partagent leur vie entre les chevaux, la chasse, les courses et les plaisirs mondains. Il faut noter particulièrement une jolie et intéressante figure, miss Madge, qui consacre sa vie à l'œuvre des femmes repenties.

La traduction de Germaine Mellor rend non seulement avec fidélité la pensée de l'auteur, mais a encore l'avantage de faire passer dans le français le caractère propre d'un style clair et précis. Joliment illustré de nombreux dessins curieusement empreints de couleur locale et édité avec le soin et le goût qui caractérisent toutes les publications de la Maison Quantin, le roman les Belfield continue dignement la collection des romans anglais contemporains, si heureusement inaugurée par Sur la Piste, de Lady M. Majendie, et Sabina Zembra, de William Black.

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OUVRAGES SIGNALÉS

Trop pur, par Jean d'Oc. Paris, Alphonse Lemerre. Un vol. in-18.- Prix: 3 fr. 50.

Mordu, mœurs littéraires, par Rachilde. Paris, F. Brossier. In-18. — Prix: 3 fr. 50.

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