Works, in an English Translation, Volumen25

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J. Lane, 1909-1926, v. 1, 1922
 

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Página 237 - Some heavenly music , (which even" now I do) To work mine end upon their senses, that This airy charm is for...
Página 237 - When he comes back ; you demi-puppets that By moonshine do the green sour ringlets make, Whereof the ewe not bites, and you whose pastime Is to make midnight mushrooms...
Página 36 - Elle est bien ; elle est en paradis pour le moins, si mieux n'est. Elle prie Dieu pour nous ; elle est bien heureuse ; elle ne se soucie plus de nos misères et calamités. Autant nous en pend à l'œil. Dieu gard' le demeurant ! Il me faut penser d'en trouver une autre.
Página 298 - L'amour vainqueur et la vie opportune, Ils n'ont pas l'air de croire à leur bonheur, Et leur chanson se mêle au clair de lune, Au calme clair de lune triste et beau Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres Et sangloter d'extase les jets d'eau, Les grands jets d'eau sveltes parmi les marbres.
Página 302 - Et comme j'étais faible et bien méchant encore, Aux mains lâches, les yeux éblouis des chemins, Elle baissa mes yeux et me joignit les mains, Et m'enseigna les mots par lesquels on adore...
Página 27 - Il prête des serments, dicte des lois sublimes, Terrasse les méchants, relève les victimes, Et sous le firmament comme un dais suspendu S'enivre des splendeurs de sa propre vertu.
Página 302 - Dieu, vous m'avez blessé d'amour Et la blessure est encore vibrante, O mon Dieu, vous m'avez blessé d'amour.
Página 36 - Ma femme est morte : et bien, par Dieu (da jurandi), je ne la resusciteray pas par mes pleurs : elle est bien, elle est en paradis pour le moins, si mieulx ne est : elle prie Dieu pour nous, elle est bien heureuse, elle ne se soucie plus de nos miseres et calamités. Autant nous en pend à l'œil. Dieu gard le demourant ! Il me fault penser d'en trouver une aultre.
Página 300 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville. — Qu'as-tu fait, ô toi que voilà Pleurant sans cesse, Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà De ta jeunesse ? 188 Je ne sais pourquoi...
Página 302 - Voici mon front qui n'a pu que rougir, Pour l'escabeau de vos pieds adorables, Voici mon front qui n'a pu que rougir. Voici mes mains qui n'ont pas travaillé, Pour les charbons ardents et l'encens rare. Voici mes mains qui n'ont pas travaillé. Voici mon cœur qui n'a battu qu'en vain, Pour palpiter aux ronces du Calvaire, Voici mon coeur qui n'a battu qu'en vain.

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