Revue des deux mondes, Volumen113François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1892 |
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affaires Aïdé aime Anastacio années Annette assez avaient Bernardin de Saint-Pierre Blacas Blanche c'était Carmaux cause chambre cheval choléra choses cœur comédiens comité comte comte d'Aure conseil d'État couleur cours CXIII d'autres d'eau demande dernier devant dire disait doña doute ÉDOUARD ROD Égypte enfans eût Exelmans famille Fayette femme fille force général gens Gladstone Gouëdic gouvernement Graval Guérinière guerre Hervé heures homme idées j'ai jamais jeune jour Karakalpaks Khiva Koungrad l'air l'audition colorée l'eau l'école l'équitation laisser lettres de cachet lord Louis XVIII main mari ment mètres Michel millions ministre Mme de Kernor monde Mondet n'avait n'en n'était nationale parler passé Paul Schrad pays pensée personne petite peut-être pluie police politique porte poussières premier presque qu'un question raison reste rien royalistes s'est sais sanitaire section semble sentimens sentiment serait seul siècle sorte Soult surtout Suzanne Teissier tion trouve Turkmènes voilà voix votes vrai yeux
Pasajes populares
Página 882 - Ceux que nous appelons anciens étaient véritablement nouveaux en toutes choses, et formaient l'enfance des hommes proprement; et comme nous avons joint à leurs connaissances l'expérience des siècles qui les ont suivis, c'est en nous que l'on peut trou-ver cette antiquité que nous révérons dans les autres.
Página 219 - Oui ! telle vous serez, ô la reine des grâces, Après les derniers sacrements, Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses, Moisir parmi les ossements.
Página 215 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.
Página 220 - C'étaient des pierres inouïes Et des flots magiques ; c'étaient D'immenses glaces éblouies Par tout ce qu'elles reflétaient ! Insouciants et taciturnes, Des Ganges, dans le firmament, Versaient le trésor de leurs urnes Dans des gouffres de diamant.
Página 609 - E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles -, Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements...
Página 222 - Tous ceux qu'il veut aimer l'observent avec crainte, Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité, Cherchent à qui saura lui tirer une plainte, Et font sur lui l'essai de leur férocité. Dans le pain et le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas.
Página 216 - Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer...
Página 214 - II est de forts parfums pour qui toute matière Est poreuse. On dirait qu'ils pénètrent le verre. En ouvrant un coffret venu de l'Orient Dont la serrure grince et rechigne en criant, Ou dans une maison déserte quelque armoire Pleine de l'acre odeur des temps, poudreuse et noire, Parfois on trouve un vieux flacon qui se souvient, D'où jaillit toute vive une âme qui revient.
Página 884 - Viens défendre, Perrault, la France qui t'appelle ; Viens combattre avec moi cette troupe rebelle, Ce ramas d'ennemis qui, faibles et mutins, Préfèrent à nos chants les ouvrages latins.
Página 401 - La propriété est le droit de jouir et de disposer des choses de la, manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements.