 | University of Sydney - 1853 - 810 páginas
...remparts, Dort le sommeil dernier des vieilles Babylones, Sous le suaire blanc de ses marbres epars. Jadis elle régnait ; sur ses murailles fortes La...ainsi qu'elle épuisé ; Et seul, un éléphant de bronze, en ces désastres, Droit encore au sommet d'un portique brisé, Lève tragiquement sa trompe... | |
 | Louis Brandin - 1904 - 308 páginas
...fond des sables monotones, La ville d'autrefois, sans tours et sans remparts, Dort le sommeil dernier des vieilles Babylones, Sous le suaire blanc de ses...ainsi qu'elle épuisé; Et seul, un éléphant de bronze, en ces désastres, Droit encore au sommet d'un portique brisé, Lève tragiquement sa trompe... | |
 | Amy Lowell - 1915 - 532 páginas
...vieilles Babylones, Sous le suaire blanc de ses marbres épars. ¿ ''Л »*<*• --^ .'..J. . - -Л-* Jadis elle régnait ; sur ses murailles fortes La...ainsi qu'elle épuisé Et, seul, un éléphant de bronze, en ces désastres, Droit encore au sommet d'un portique brisé, Lève tragiquement sa trompe... | |
 | Albert Samain - 1920 - 202 páginas
...fond des sables monotones, La ville d'autrefois, sans tours et sans remparts, Dort le sommeiL dernier des vieilles Babylones, Sous le suaire blanc de ses...ainsi qu'elle épuisé. Et, seul, un éléphant de bronze, en ces désastres, Droit encore au sommet d'un portique brisé, Lève tragiquement sa trompe... | |
 | Albert Victor Samain - 1924 - 262 páginas
...fond des sables monotones, La ville d'autrefois, sans tours et sans remparts, Dort le sommeil dernier des vieilles Babylones, Sous le suaire blanc de ses...ainsi qu'elle épuisé, Et, seul, un éléphant de bronze, en ces désastres, Droit encore au sommet d'un portique brisé, Lève tragiquement sa trompe... | |
 | Amy Lowell - 1915 - 528 páginas
...murailles fortes La Victoire e'tendait ses deux ailes de fer. Tous les peuples d'Asie assie'geaient ses cent portes ; Et ses grands escaliers descendaient vers la mer . . . Vide a present, et pour jamais silencieuse, Pierre a pierre, elle meurt, sous la lune pieuse, Aupres de... | |
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VILLE MORTE Vague, perdue au fond des sables monotones, La ville d'autrefois, sans tours et sans remparts, Dort le sommeil dernier des vieilles Babylones, Sous le suaire blanc de ses marbres épars. Jadis elle régnait; sur ses murailles fortes La Victoire... 