 | Joseph Marie comte de Maistre - 1821 - 568 páginas
...encore la luxure et la haine. Cette bouche. — Je dis mal peut-être, mais ce n'est pas ma faute. — Ce rictus épouvantable courant d'une oreille à l'autre , et ces lèvres pincées par la cruelle n*ilice comme un ressort prêt à se détendre pour lancer le blasphème ou le sarcasme. -*• Ne me... | |
 | 1844 - 512 páginas
...L'anathème divin fut écrit sur son visage. Allez contempler sa figure au palais de l'Hermitage.... voyez ce front abject que la pudeur ne colora jamais,...semblent bouillonner encore la luxure et la haine ; cette bouche épouvantable, courant d'une oreille a l'autre , et ces lèvres pincées par la cruelle... | |
 | Joseph Marie comte de Maistre - 1850 - 910 páginas
...naturel. Il ya autant de vérité dans cette tête qu'il y en aurait dans un plâtre pris sur le cadavre. Voyez ce front abject que la pudeur ne colora jamais...ces deux cratères éteints où semblent bouillonner encor la luxure et la haine. Cette bouche. — Je dis mal peut-être, mais ce n'est pas ma faute. —... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1853 - 810 páginas
...cette bouche (je dis mal peut« être , mais ce n'est pas ma faute) , ce rictus épou« vantable , courant d'une oreille à l'autre , et ces « lèvres pincées par la cruelle malice comme un res« sort prêt à se détendre pour lancer le blasphème ou « le sarcasme. No me parlez pas de cet... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1853 - 400 páginas
...ya « autant de vérité dans cette tête qu'il y en aurait « dans un plâtre pris sur le cadavre. Voyez ce front « abject que la pudeur ne colora jamais ; ces deux cra« tères éteints, où semblent bouillonner encore la « luxure et la haine; cette bouche (je dis... | |
 | Joseph de Maistre - 1854 - 498 páginas
...naturel. Il ya autant de vérité dans cette tête qu'il y en aurait dans un plâtre pris sur le cadavre. Voyez ce front abject que la pudeur ne colora jamais...ces deux cratères éteints où semblent bouillonner encor la luxure et la haine. Cette bouche. — Je dis mal peut-être, mais ce n'est pas ma faute. —... | |
 | Émile Delerot - 1856 - 200 páginas
...Voyez-vous (s'écriait « M. de Maistre à Saint-Pétersbourg, devant le marbre « admiré par Catherine) ce front abject que la pudeur ne « colora jamais, ces deux cratères éteints où semble bouil« lonner encore la luxure et la haine ; cette bouche, je dis « mal peut-être, mais ce... | |
 | 1857 - 886 páginas
...Voyez-vous (s'écriait « M. de Maistre à Saint-Pétersbourg, devant le marbre « admiré par Catberine) ce front abject que la pudeur ne « colora jamais, ces deux cratères éteints où semble bouii« lonner encore la luxure et la baine ; cette boucbe, je dis « mal peut-être, mais ce... | |
 | Joseph Marie comte de Maistre - 1859 - 476 páginas
...naturel. Il ya autant de vérité dans cette tête qu'il y en aurait dans un plâtre pris sur le cadavre. Voyez ce front abject que la pudeur ne colora jamais,...semblent bouillonner encore la luxure et la haine. Cette bouche... je dis mal peut-être, mais ce n'est pas ma faute, — ce rictus épouvantable courant... | |
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Voyez ce front abject que la pudeur ne colora jamais, ces deux cratères éteints où semblent bouillonner encore la luxure et la haine. Cette bouche - je dis mal peut-être, mais ce n'est pas ma faute - ce rictus épouvantable courant d'une oreille à... 
