Histoire de France illustrée depuis les origines jusqu'à la révolution, Volumen4Ernest Lavisse Hachette, 1911 |
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... une valeur relative notablement supérieure . 2. De Beaurepaire , Etat des campagnes de la Haute - Normandie , p . 22 . Avant le paiement de la solde , des revues d'effectif ( 4 ) Charles VII . Fin de la guerre de Cent Ans . LIVRE PREMIER.
... une valeur relative notablement supérieure . 2. De Beaurepaire , Etat des campagnes de la Haute - Normandie , p . 22 . Avant le paiement de la solde , des revues d'effectif ( 4 ) Charles VII . Fin de la guerre de Cent Ans . LIVRE PREMIER.
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Ernest Lavisse. Avant le paiement de la solde , des revues d'effectif et de matériel étaient passées par des commissaires royaux , qui étaient le plus souvent des fonctionnaires civils . C'étaient aussi des juges civils qui connaissaient ...
Ernest Lavisse. Avant le paiement de la solde , des revues d'effectif et de matériel étaient passées par des commissaires royaux , qui étaient le plus souvent des fonctionnaires civils . C'étaient aussi des juges civils qui connaissaient ...
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... avant lui Henry V , réservait à des Anglais la plupart des emplois militaires . En Normandie , tous les baillis , tous les gouver- neurs de places étaient Anglais . Le Parlement de Paris avait été épuré au moment du triomphe des ...
... avant lui Henry V , réservait à des Anglais la plupart des emplois militaires . En Normandie , tous les baillis , tous les gouver- neurs de places étaient Anglais . Le Parlement de Paris avait été épuré au moment du triomphe des ...
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... avant de mourir , avait décidé que tous les bénéfi- ciers du royaume devaient jurer l'observation du traité de Troyes , et Bedford nomma des commissaires chargés de recueillir ce serment . AUTRES IMPOSITIONS . BEDFORD ET L'ÉGLISE DE ...
... avant de mourir , avait décidé que tous les bénéfi- ciers du royaume devaient jurer l'observation du traité de Troyes , et Bedford nomma des commissaires chargés de recueillir ce serment . AUTRES IMPOSITIONS . BEDFORD ET L'ÉGLISE DE ...
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... avant boire ou après boire » . Un des fidèles du connétable , Guillemot de Montsorbier , ajourné par le Par- lement , paya un prêtre pour envoûter le roi et ses conseillers Riche- mont refusa de le livrer . Ceux mêmes qui étaient ...
... avant boire ou après boire » . Un des fidèles du connétable , Guillemot de Montsorbier , ajourné par le Par- lement , paya un prêtre pour envoûter le roi et ses conseillers Riche- mont refusa de le livrer . Ceux mêmes qui étaient ...
Términos y frases comunes
Anglais Armagnacs armée assemblées avaient Bâle Beaujeu Bedford Bour Bourbon bourgeois Bourges bourguignonne Bull c'était campagne Cent Ans Charles d'Orléans Charles le Téméraire Charles VII Chastellain Chronique Clergé Commynes Concile Conseil conseillers corporations d'ailleurs d'Anjou d'Armagnac d'Arras dauphin députés documents domaines duc d'Alençon duc de Bourgogne duc de Bretagne duché Dunois Écorcheurs édit Édouard IV féodale fin du règne Flamands Flandre française gens Gilles de Rais gouvernement guerre de Cent Guyenne Henry Hist Histoire hommes impôts Jacques Cœur Jean Jeanne d'Arc Jouvenel l'Acad l'Ecole des Chartes l'Église l'Université Languedoc Languedoïl lettres livres Lorraine Louis XI maison ment mois monarchique mort moyen âge n'avait nobles Noblesse Normandie OUVRAGES A CONSULTER paix pape Parlement pays Philippe le Bon politique Pragmatique Praguerie princes procès provinces règne de Charles René René d'Anjou Richemont Rouen royale royaume saint Savoie seigneurs seulement subsides Suisses Thomas Basin villes XIVe siècle xve siècle
Pasajes populares
Página 67 - ... et arracher les cheveux : « Hélas ! me traite-t-on ainsi horriblement et cruellement, qu'il faille que mon corps, net en entier, qui ne fut jamais corrompu, soit aujourd'hui consumé et rendu en cendres!
Página 298 - A sa mort, l'élection ramena sur le trône impérial les Habsbourg, en la personne d'Albert d'Autriche, prince capable aussi de faire respecter son autorité; mais, après Albert, régna, pendant cinquantetrois ans (1440-1493), Frédéric d'Autriche, de qui un envoyé de Charles VII écrivait que c'était un homme « endormi, lâche, pesant, morne, avaricieux, chiche, craintif, qui se laisse plumer la barbe à chacun sans revanger, variable, hypocrite, dissimulant, et à qui tout mauvais adjectif...
Página 341 - Comme en 1440, les coalisés prirent pour chef nominal l'héritier présomptif; cette fois, c'était le frère du roi. « Monsieur Charles », duc de Berry, avait dix-huit ans; c'était un chétif jeune homme, laid et disgracieux comme son père et son frère ', peu intelligent, efféminé, vaniteux. Jusqu'à sa mort, il allait être un jouet aux mains des ennemis de Louis XI. « Monsieur Charles, dit Commynes, estoit homme qui peu ou riens faisoit de luy, mais en toutes chouses estoit manyé et...
Página 439 - ... pour ledit art et industrie de l'impression, et au profit et utilité • ' * qui en vient et peut venir à toute la chose publique , tant pour l'augmentation de la science , que autrement , et combien que toute la valeur et estimation.
Página 405 - C'est qu'en effet les villes trouvaient en lui, contre les violences féodales, un défenseur toujours prêt, et l'annexion au domaine royal était pour elles une garantie, sinon d'indépendance, du moins de sécurité. Louis XI ne se lassait pas de prodiguer aux bourgeois, dans ses lettres et ses causeries familières, les flatteries et les promesses. En 1473, recevant les délégués de la ville d'Amiens, il ordonnait qu'on le laissât seul avec eux, disant : « Je vueil parler à mes bons amis...
Página 128 - ... ils ne mangent pas de viande, sauf quelquefois un peu de lard ou bien des entrailles et de la tête des bêtes qu'ils tuent pour l'alimentation des nobles et des marchands du pays. Ils ne portent pas de laine, sauf une pauvre cotte, sous leur vêtement de dessus, lequel est fait de toile grossière et appelé blouse.
Página 355 - DESDEUXPRINCES. pour la première fois, le 14 octobre, à neuf heures du matin, voir son prisonnier. Il avait pris son parti : le roi serait libre, s'il voulait signer un traité qui avait été préparé par le Conseil ducal, et participer à la destruction de Liège. Lorsque le duc entra, « la voix luy trembloit, tant il estoit esmeu et prest de se courroucer. Il fit humble contenance de corps, mais sa geste et sa parolle estoit aspre.
Página 400 - ... machineurs contre ma personne; et afin d'eux garantir de la punition , ils veulent abolir l'horrible peine qui y est. Par quoi sera bon que je mette remède à deux choses : la première, expurger la cour de telles gens; la seconde, faire tenir le statut que...
Página 153 - Public va éclater, se demandant s'il ne serait pas bon d'embrasser le parti bourguignon, pour « parvenir à quelques offices ou estatz, qui sont plus désirez en ceste cité là que en nulle aultre du monde : car ceulx qui les ont les font valoir ce qu'ilz peuvent, et non pas ce qu'ilz doivent; et ya offices sans gaiges, qui se vendent huyt cens escuz; d'aultres, où il ya gaiges bien petitz, qui se vendent plus que leurs gaiges ne sauroient valoir en quinze ans. » La vénalité des offices, avec...
Página 32 - ... ses premières armes. Le Maine, ravagé par les gens de guerre, était alors un pays « moult désollé et désert ». Dans les châteaux, « de povre closture et de vieille façon », les garnisons faisaient maigre chère. « Alloient très souvent deux à deux sur ung cheval et la pluspart alloient à pie. Et pour brief parler, tant d'hommes que de chevaulx, les plusieurs estoient les uns borgnes et les aultres boiteux d'aucun membre. » Ces châteaux de misère ne se laissaient pas prendre,...