 | Jean de Bueil (comte de Sancerre) - 1887 - 810 páginas
...coups et horions et en recevoir, etc. i Ed. Vérard. 3. Var. : « doulceur. » Id. trop ne assez ; mais alloient très souvent deux à deux sur ung cheval,...chevaulx, les plusieurs estoient, les uns borgnes et les autres boiteux d'aucun membre, et n'y avoit cellui qui ne portast les enseignes de son mestier. Si... | |
 | 1887 - 576 páginas
...ne assez ; mais alloient très souvent deux à deux sur ung cheval, et la pluspart alloient à pié. Et, pour brief parler, tant d'hommes que de chevaulx, les plusieurs estoient, les uns borgnes et les autres boiteux d'aucun membre, et n'y avoit cellui qui ne portast les enseignes de son mestier. Si... | |
 | Ernest Lavisse - 1902 - 476 páginas
...guerre, était alors un pays « moult désollé et désert ». Dans les châteaux, « de povre closiure et de vieille façon », les garnisons faisaient maigre...moins heureux. En Picardie, les dernières places fldèles tombèrent aux mains des Anglais. La Hire, isolé, guerroyait près de Reims : une armée... | |
 | Ernest Lavisse - 1911 - 486 páginas
...faisaient maigre chère. « Alloient très souvent deux à deux sur ung cheval et la pluspart alloicnt à pie. Et pour brief parler, tant d'hommes que de chevaulx, les plusieurs estoienl les uns borgnes et les aultres boiteux d'aucun membre. » Ces châteaux de misère ne se laissaient... | |
 | 1923 - 94 páginas
...pas trop ne assez ; mais alloient tres souvent deux a deux sur un cheval et la pluspart alloient a pie. Et pour brief parler, tant d'hommes que de chevaulx, les plusieurs estoient borgnes et les autre ; boiteux d'aucun membre, et n'y avoit cellui qui ne portast les enseignes de... | |
 | Alain Chartier - 1923 - 112 páginas
...trop ne assez ; mais alloient tres souvent deux a deux sur un cheval et la pluspart alloient a pié. Et pour brief parler, tant d'hommes que de chevaulx, les plusieurs estoient borgnes et les autres boiteux d'aucun membre, et n'y avoit cellui qui ne portast les enseignes de son... | |
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... ses premières armes. Le Maine, ravagé par les gens de guerre, était alors un pays « moult désollé et désert ». Dans les châteaux, « de povre closture et de vieille façon », les garnisons faisaient maigre chère. « Alloient très souvent... 