Revue des deux mondesAu Bureau de la Revue des deux mondes, 1843 |
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... maître , s'il y en avait un : « Je m'y connais en matière d'état mieux que toi ; » et que , de leur côté , des gouvernans illustres , et en général capables sur tout sujet , vaquent à beaucoup de choses qu'ils croient plus essentielles ...
... maître , s'il y en avait un : « Je m'y connais en matière d'état mieux que toi ; » et que , de leur côté , des gouvernans illustres , et en général capables sur tout sujet , vaquent à beaucoup de choses qu'ils croient plus essentielles ...
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... maître du sourire . J'ai vu à Ferney un portrait de Voltaire qui avait alors à peu près quarante ans , mais dont l'œil velouté et encore tendre montrait tout ce qu'il avait dû avoir de charmant , tout ce qui allait disparaître et s ...
... maître du sourire . J'ai vu à Ferney un portrait de Voltaire qui avait alors à peu près quarante ans , mais dont l'œil velouté et encore tendre montrait tout ce qu'il avait dû avoir de charmant , tout ce qui allait disparaître et s ...
Página 22
... maître de l'hôtel où je logeais ? - Il prétend que ce qu'il a trouvé dans la malle qu'il a retenue en gage ne vaut pas trente francs . - Je la lui laisse pour quinze . Et il veut aussi être payé ? Avant quinze jours ; c'est là tout le ...
... maître de l'hôtel où je logeais ? - Il prétend que ce qu'il a trouvé dans la malle qu'il a retenue en gage ne vaut pas trente francs . - Je la lui laisse pour quinze . Et il veut aussi être payé ? Avant quinze jours ; c'est là tout le ...
Página 42
... maître Prosper ; d'ailleurs , citoyen ou non , un fils doit avant tout obéir à son père . - Ah ! vous recevez M. de Moréal ? dit en changeant de conver- sation l'étudiant , qui venait d'apercevoir le vicomte . - Il est mon ami ...
... maître Prosper ; d'ailleurs , citoyen ou non , un fils doit avant tout obéir à son père . - Ah ! vous recevez M. de Moréal ? dit en changeant de conver- sation l'étudiant , qui venait d'apercevoir le vicomte . - Il est mon ami ...
Página 66
... maître de l'hôtel s'empressa d'ôter la calotte grecque qui d'habitude semblait faire partie de sa tête , tant elle y restait fixée invariablement . - C'est sans doute à monsieur Chevassu le député que j'ai l'hon- neur de parler ? dit ...
... maître de l'hôtel s'empressa d'ôter la calotte grecque qui d'habitude semblait faire partie de sa tête , tant elle y restait fixée invariablement . - C'est sans doute à monsieur Chevassu le député que j'ai l'hon- neur de parler ? dit ...
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Términos y frases comunes
amour anglais Aristophane assez aujourd'hui avaient avez Bel-Accueil Boucher Bruno Brun Bulgares c'était capital Chevassu chose Cléon cœur colonies commerce commerciale coup cyclope député devant Dieu dire dit-il don Bela Dornier Dorothée doute drame satyrique esclaves esprit eût femme FERNANDO force Gaspard de Besse GHERARDA gouvernement grace Grande-Bretagne Guillaume de Lorris Henriette homme îles Falkland intérêts Irlande j'ai jamais Jean de Meun jeune fille jour l'amour l'Angleterre l'église l'Espagne l'esprit l'Irlande l'orfèvre laisser long-temps Lope Madeloun main Maistre maître Marfise marquise ment millions misé Brun Mme de Pontailly monde monsieur Moréal n'était nièce Nieuselle parler paroles passé pays pensée père peuple poésie poète politique porte premier presque Prosper qu'un question raïas raison regard répondit reprit reste révolution rien Robert Peel s'écria s'était sais scène semble sentiment serait Serbes sérieux seul siècle Slaves société anonyme sorte tante Marianne tion traité trouve vicomte vieillard voilà voix vrai yeux
Pasajes populares
Página 405 - La loi reconnaît trois espèces de sociétés commerciales: La société en nom collectif ; La société en commandite ; La société anonyme.
Página 997 - En effet, l'on a beau se cacher, l'on aime toujours; dans les choses même où il semble que l'on ait séparé l'amour, il s'y trouve secrètement et en cachette, et il n'est pas possible que l'homme puisse vivre un moment sans cela.
Página 996 - A mesure que l'on a plus d'esprit, les passions sont plus grandes , parce que les passions n'étant que des sentiments et des pensées qui appartiennent purement à l'esprit, quoiqu'elles soient occasionnées par le corps, il est visible qu'elles ne sont plus que l'esprit même, et qu'ainsi elles remplissent toute sa capacité.
Página 997 - Le premier a des vues lentes, dures et inflexibles; mais le dernier a une souplesse de pensée qu'il applique en même temps aux diverses parties aimables de ce qu'il aime.
Página 412 - L'extrait doit contenir : — Les noms, prénoms, qualités et demeures des associés autres que les actionnaires ou commanditaires ; — La raison de commerce de la société ; — La désignation de ceux des associés autorisés à gérer, administrer et signer pour la société ; — Le montant des valeurs fournies ou à fournir par actions ou en commandite ; — L'époque où la société doit commencer, et celle où elle doit finir.
Página 476 - Dernier a en caisse cent mille francs sortis de notre bourse. Maintenant de deux choses l'une : ou il essaiera réellement de fonder un journal, et en ce cas, comme c'est là un hameçon usé auquel les abonnés ne mordent plus guère, ce sera l'affaire d'un an ou deux pour manger les cent mille francs; ou, jugeant plus habilement la position, il se dira, comme Basile, que ce qui est bon à prendre est bon à garder...
Página 999 - C'est un tyran, qui ne souffre point de compagnon; il veut être seul; il faut que toutes les passions ploient et lui obéissent. Une haute amitié remplit bien mieux qu'une commune et égale le cœur de l'homme; et les petites choses flottent dans sa capacité; il n'ya que les grandes qui s'y arrêtent et qui y demeurent.
Página 996 - Si j'avais à en choisir une, je prendrais celle-là. Tant que l'on a du feu, l'on est aimable; mais ce feu s'éteint, il se perd : alors que la place est belle et grande pour l'ambition...
Página 999 - Quand on aime une dame sans égalité de condition, l'ambition peut accompagner le commencement de l'amour ; mais en peu de temps il devient le maître. C'est un tyran qui ne souffre point do compagnon : il veut être seul; il faut que toutes les passions ploient et lui obéissent. Une haute amitié remplit bien...
Página 995 - L'homme est né pour penser; aussi n'est-il pas un moment sans le faire; mais les pensées pures, qui le rendraient heureux s'il pouvait toujours les soutenir, le fatiguent et l'abattent. C'est une vie unie à laquelle il ne peut s'accommoder ; il lui faut du remuement et de l'action, c'est-à-dire qu'il est nécessaire qu'il soit quelquefois agité des passions, dont il sent dans son cœur des sources si vives et si profondes.