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pour l'année 1867-1868, 5 cah. in-4°, 12 broch., et 1 vol. in-8°. Brandt (J.-F.). -Bericht über den bereits gedruckten

zweiten und handschriftlich Beendeten. Dritten Fascikel der Symbolae sirenologicae. Saint-Pétersbourg, 1867; in-8°.

Brandt (J.-F.). Neue untersuchungen über die systematische Stellung und die verwandtschaften des Dodo (Didus ineptus). Saint-Pétersbourg, 1867; in-8".

Brandt (J.-F.). Uber die Gruppirung der Gattungen der Ordnung der Sirenien. Saint-Pétersbourg, 1868; in-8°.

Brandt (J.-F.). Einige Worte über eine neue unter meiner Leitung entworfene ideale Abbildung der Steller'schen Seekuh. Saint-Pétersbourg, 1867; in-8°.

Brandt (J.-F.). Symbolae sirenologicae. Fasciculus II et III. Saint-Pétersbourg, 1861-1868; in-8°.

Société impériale d'agriculture de Moscou.

Recueil d'articles sur l'agriculture, année 1867, vol. 1 et 2; Journal, années 1865-1867, 2 vol. in-8°; --Réunion des agriculteurs russes, 1864; Conférences agronomiques, années 18641866. Moscou; in-8° (ouvrages en langue russe).

Académie impériale des sciences de Saint-Pétersbourg. — Mémoires, 7 série, tome XI, nos 9 à 18 et dernier. SaintPétersbourg, 1868; 10 cahiers in-4°; Bulletin, tome XII, feuilles 7 à 37 et fin. Saint-Pétersbourg, 1868; 4 cahiers in-4°. Société impériale des naturalistes, à Moscou. Bulletin, année 1867, n° 3. Moscou, 1867; in-8°.

Negri (Cristoforo). — Discorso come presidente della società geografica italiana nell' adunanza del 25 gennaio 1868. Florence, 1868; in-8°.

Negri (Cristoforo).

Relazione del presidente sullo stato della società geografica italiana al 22 giugno 1868. Florence,

1868; in-8°.

DE

L'ACADÉMIE ROYALE DES SCIENCES,

DES

LETTRES ET DES BEAUX-ARTS DE BELGIQUE.

1868. Nos 9 ET 10.

CLASSE DES BEAUX-ARTS.

Séance du 25 septembre 1868.

M. F.-J. FÉTIS, directeur et président de l'Académie. M. AD. QUETELET, secrétaire perpétuel.

Sont présents: MM. L. Alvin, N. De Keyser, G. Geefs, H. Leys, A. Van Hasselt, Jos. Geefs, Ferd. De Braekeleer, C.-A. Fraikin, Ed. Fétis, Edm. De Busscher, Portaels, Alph. Balat, Aug. Payen, le chevalier Léon de Burbure, J. Franck, Ad. Siret, J. Leclercq, membres; DaussoigneMéhul, associé.

M. Chalon, membre de la classe des lettres, assiste à la séance.

2me SÉRIE, TOME XXVI.

15

CORRESPONDANCE.

M. le secrétaire perpétuel donne connaissance de la correspondance échangée avec le département de l'intérieur et avec M. le directeur du Conservatoire, au sujet des préparatifs de la séance publique du samedi 26 de ce mois, dans laquelle sera exécutée la cantate de M. Van Gheluwe, qui a remporté le second prix (en partage) au grand concours de composition musicale de 1867.

Le collége des bourgmestre et échevins de la ville d'Anvers adresse diverses livraisons du Bulletin des archives communales, et remercie pour l'échange de ce recueil avec les Bulletins de l'Académie.

Il est offert à la classe un exemplaire des Souvenirs du lieutenant-colonel honoraire Demanet, membre de l'Académie, publiés par la famille du défunt. Remercîments.

La classe est informée que le dernier rapport de M. G. Huberti, lauréat du grand concours de composition musicale de 1865, soumis à l'appréciation de M. le président de la section permanente du jury, a été renvoyé à M. le Ministre de l'intérieur, avec le rapport de M. F.-J. Fétis.

CONCOURS DE 1868.

La classe est appelée, dans la séance de ce jour, à entendre la lecture des rapports des commissaires sur les mémoires présentés en réponse aux questions du programme de cette année, etjà formuler son jugement sur ces travaux.

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Trois mémoires avaient été envoyés en réponse à la deuxième question :

Apprécier Quentin Metsys comme peintre, et déterminer l'influence qu'il a exercée.

Après s'être communiqué leurs observations sur ces travaux, les trois commissaires rapporteurs, MM. Portaels, Ed. Fétis et Siret, déposent leurs conclusions dans le rapport collectif suivant :

« L'auteur du mémoire n° 1 ayant pour devise:

La croix est le fondement de l'étoile

débute par quelques considérations sur le mouvement de l'art à la fin du quinzième siècle et pendant la durée du seizième, ainsi que sur l'influence italienne que subirent tous les peintres de cette époque, y compris les Flamands, parmi lesquels Mabuse et Frans Floris sont mentionnés particulièrement. Il donne ensuite sur Quentin Metsys des détails biographiques puisés aux anciennes sources, ainsi que le prouve la désignation d'Anvers comme lieu de naissance du maître. Viennent après cela des considérations

relatives à l'influence que dut avoir sur le talent du peintre sa première profession, laquelle se manifeste particulièrement dans les détails d'architecture qu'offrent les fonds de ses tableaux, et dont la précision, la fermeté accusent les habitudes contractées par le forgeron dans l'exécution des motifs d'ornementation de ses ouvrages en fer battu.

Quelques lignes sont consacrées à louer Quentin Metsys de n'avoir pas donné dans le travers de l'imitation des maîtres italiens, après quoi l'auteur parle brièvement des deux triptyques d'Anvers et de Louvain. Ce dernier est signalé comme supérieur à l'autre, et ce n'est pas sans raison. « Cette œuvre de premier ordre de Quentin Metsys, > ainsi s'exprime l'auteur, n'a aucune comparaison à crain» dre, fût-ce même des tableaux de la meilleure période > italienne. » L'Ensevelissement du Christ est aussi apprécié comme une production d'une haute valeur; mais des manques de goût y sont relevés, notamment dans les figures des bourreaux de l'un des valets. « Ces deux tableaux, suivant » l'auteur, marquent le point culminant de la peinture >> religieuse. >>

L'auteur revient à des considérations générales sur l'influence italienne et particulièrement sur ce que fit Frans Floris pour la propager dans les Pays-Bas. Il parle ensuite des relations qu'eut Quentin Metsys avec les hommes distingués de son temps, avec Érasme et Thomas Morus, entre autres, et en tire cette conclusion qu'il n'était pas seulement un habile artiste, mais encore un esprit distingué.

Vient, pour terminer, une appréciation de l'influence qu'exercèrent les œuvres de Metsys sur Rubens, en le retenant dans les voies de la nature que des études en Italie auraient pu lui faire abandonner. Ce chapitre est longuement développé.

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