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31. Desgl. in den Publicationen der Linnæan Society.

32. Desgl. der Cambridge Philosophical Society.

33. Desgl. der Medico-Chirurgical Society.

34. Desgl. der Microscopical Society, deren Mitbegründer und erster Präsident Owen war.

35. Die Artikel Mollusca, Odontology, Oken u. a. in der Encyclopaedia Britannica, 8. ed. 1853-60 (vergl. London Quarterly Review, March, 1852, 370-371).

36. Crocodilia and Ophidia of the London Clay. 1859. 4".

37. Lecture on the Classification of Mammalia. 1859.

38. Palaeontology; a Summary of Extinct Animals. 1860, new edit. 1869.

39. Memoir on the Megatherium, or Giant Ground-Sloth of America. 1861. 4o.

40. On the Extent of a National Museum of Natural History. 1862.

41. On the Anatomy of Vertebrates. 1866-68. 3 voll.

42. Descriptive and illustrated catalogue of the fossil Reptilia of South Africa in the collection of the British Museum. London 1876. 4o.

43. Researches on the fossil remains of the extinct mammals of Australia, with a notice of the extinct Marsupials of England. London 1877. 2 Bde. 4o.

44. On the fossil Mammals of Australia, and on the extinct Marsupials of England. 1877. 2 voll. 4o. 45. Memoirs of extinct wingless birds of New Zealand. 2 Bde. 1878. 4o.

46. Ova of the Echidna Hystrix. 1881. 4°.

47. Remains of the Gigantic Land-Lizard from Australia. 1881-82. 3 Pts. 4o.

48. Experimental Physiology. 1882.

49. The Conario-Hypophysial Tract and on Aspects of the Body. 1883.

50. Tusk of a Proboscidian Mammal (Notelephas Australis). 1883. 4o.

51. Affinities of Thylacoleo. 1884. 4o.

52. Pelvic Characters of Thylacoleo Carnifex. 1884. 4o.

53. Evidence of Large Extinct Lizard, Notosaurus Dentus. 1884. 4o.

54. Large Extinct Monotreme Echidna Ramsay. 1884. 4o.

55. Teeth of Large Extinct (Marsupial?) Genus Sceparnodon Ramsay. 1884. 4o.

56. The Antiquity of Man deduced from the Discovery of a Skeleton at Tilbury. 1884.

57. Fossil Remains and Foot-Bones of Megalania Prisca. 1887. 4o.

58. Fossil Remains of two Species of a Megalanian Genus. 1887. 4o.

59. Parts of the Skeleton of Meiolania Platiceps. 1888. 4o.

Geschenke.

Eingegangene Schriften.

(Vom 15. Juni bis 15. Juli 1893.)

Bergh, Rudolph: Opisthobranches provenant des
campagnes du yacht l'Hirondelle. Monaco 1893. 4o.
Leber Ansteckung und Ansteckungswege bei Syphilis.
Hamburg und Leipzig 1888. 8°. Ueber Täto-
wierungen der Prostituierten. Hamburg 1891. 8°.
Thomas, Fr.: Bemerkungen zu R. Hess' Beob-
achtung der Knoppern-Gallwespe bei Giessen. Sep.-
Abz. Ein alpines Auftreten von Chrysomyxa abietis
in 1745 m Meereshöhe. Sep.-Abz. Besprechung
von Dr. Carl Fritsch über „Neue Fundorte alpiner
Synchytrien". Sep.-Abz. -Zwei hochalpine Rhopalo-
myia-Arten. Sep.-Abz.

Loew, Oscar: Ein natürliches System der Gift-
Wirkungen. München 1893. 8°.

Burmester, L.: Ueber die momentane Bewegung
der ebenen Mechanismen. Sep.-Abz. Die Brenn-
punktmechanismen. Sep.-Abz.

Wehmer, Carl: Zwei neue Schimmelpilze als Er-
reger einer Citronensäure - Gärung. Hannover und
Leipzig 1893. 8o.

Kühn, Julius: Berichte aus dem physiologischen
Laboratorium und der Versuchanstalt des landwirth-

schaftlichen Instituts der Universität Halle. Zehntes Heft. Dresden 1893. 8°.

Ankäufe.

(Vom 15. Juni bis 15. Juli 1893.)

Göteborgs Kongl. Vetenskabs och Vitterhets. Samhälles Handlingar. N. F. Hft. 4-20. Götheborg 1858-1885. 8°.

Forhandlinger ved de Skandinaviske Naturforskeres in Christiania. Möde XII, XIII. Christiania 1883, Stockholm 1887. 8°.

Russisch-Kaiserliche Mineralogische Gesellschaft zu St. Petersburg. Verhandlungen. Jg. 1848/49, 1850/51. St. Petersburg 1850, 1851. 8°.

Royal Geographical Society in London. Journal. Vol. I-XXXI. London 1832-1861. 8°.

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Tauschverkehr.

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(Vom 15. December 1892 bis 15. Januar 1893.) Académie des Sciences de Paris. Comptes rendus hebdomadaires des séances. 1892. 2me Semestre. Tom. 115. Nr. 24-26. Paris 1892. 4°. Picard, E. Sur certaines solutions asymptotiques des équations différentielles. p. 1030-1031. Moissan, H.: Description d'un nouveau four électrique. p. 1031–1033. Id.: Action d'une haute température sur les oxydes métalliques. p. 1034-1036. Friedel, C.: Sur l'existence du diamant dans le fer météorique de Cañon Diablo. p. 1037 -1041. Amagat, E.-H. Sur les lois de dilatation à volume constant des fluides. Coefficients de pression. p. 1041-1045. Arloing: Des moyens de diminuer le pouvoir pathogène des pulpes de betteraves ensilées. p. 1045 -1048. Renard, Ch. Sur l'emploi des ballons non montés à l'exécution d'observations météorologiques à très grande hauteur. p. 1049-1053. Deslandres, H.: Observations photographiques de la comète Holmes. p. 1054. Fouret, G.: Sur le lieu du centre des moyennes distances d'un point d'une épicycloïde ordinaire et des centres de courbure successifs qui lui correspondent. p. 1055--1056. Cels, J.: Sur les équations différentielles linéaires ordinaires. p. 1057-1059. Mensbrugghe, G. van der: Sur la cause commune de l'évaporation et de la tension superficielle des liquides. p. 1059-1061. Joubin, P.: Sur le rapport entre la vitesse de la lumière et la grandeur des molécules dans les milieux réfringents. p. 1061–1063. Fabry, Ch. Sur la propagation anomale des ondes lumineuses des anneaux de Newton. p. 1063-1064. Frédureau: Sur les globes diffuseurs transparents. p. 1064 -1066. Runolfsson: Sur une relation entre la chaleur moléculaire et la constante diélectrique. p. 1066-1068. Curie, P.: Sur l'emploi des condensateurs à anneau de garde et des électromètres absolus. p. 1068-1072. Leduc, A.: Sur la densité de l'oxyde de carbone et le poids atomique du carbone. p. 1072-1074. Hinrichs, G.: Réduction critique des déterminations fondamentales de Stas sur le chlorate de potasse. p. 1074-1078. Besson, A.: Sur un chloroiodure de carbone. p. 1078-1079. Meslans, M.: Action de l'acide fluorhydrique anhydre sur les alcools. p. 1080-1083. Bouchardat, G., et Lafont, J.: Action de l'acide sulfurique sur le citrène. p. 1083-1085. Barthe, L.: Essai du sulfate de quinine et dosage de la quinine en présence des autres alcaloides du quinquina. p. 1085-1088. Cordier, J.-A.: Sur l'assimilation du feuillet à la caillette des Ruminants au point de vue de la formation de leur membrane muqueuse. p. 1088–1090. Lesbre, F.-X.: Sur les caractères ostéologiques différentiels des lapins et des lièvres. Comparaison avec le léporide. p. 1090, Thélohan, P.: Myxosporidies de la vésicule biliaire des poissons. Espèces nouvelles. p. 1091–1094. Cornu, M.: Méthode pour assurer la conservation de la vitalité des graines provenant des régions tropicales lointaines. p. 1094-1097. Bonnier, G.: Sur la différence de transmissibilité des pressions à travers les plantes ligneuses, les plantes herbacées et les plantes grasses. p. 1097--1100. Poirault, G.: Sur la structure des Gleicheniacées. p. 1100-1103. Wedensky, N.: Sécrétion salivaire et excitation électrique. p. 1103-1106. Babes, A.: Action de l'extrait de sang de bœuf sur les animaux atteints de morve. Zenger, p. 1106-1109. Ch.-V.: Le blizzard du 6 au 7 décembre 1892. p. 1109 --1111. Bouchard et Charrin: Elévations thermiques sous l'influence des injections des produits solubles microbiens. p. 1225-1230. Ranvier: Des vaisseaux et des clasmatocytes de l'hyaloïde de la Grenouille. p. 1230-1233. Rayet, G.: Observations de la comète Holines (6 novembre 1892), faites au grand équatorial de l'Observatoire de Bordeaux par MM. G. Rayet et L. Picart. p. 1233-1234. Rayet, G.: Observations de la comète Swift (1892, I), faites au grand équatorial de l'Observatoire de Bordeaux par MM. G. Rayet, L. Picart et F. Courty. p. 1234-1238. Amagat, E.-I. Sur les lois de dilatation à volume constant des fluides; coefficients de pression. p. 1238–1242. Le Cadet, G.: Observations de la comète Holmes, faites

-

à l'équatorial coudé (0m, 32) de l'Observatoire de Lyon. p. 1246. Stroobant, P.: Nouvelles recherches expérimentales sur l'équation personnelle dans les observations de passage. p. 1246-1250. Petot, A.: Sur les systèmes conjugués et les couples de surfaces applicables. p. 1250 -1252. Cosserat, E.: Sur la déformation infinitésimale et sur les surfaces associes de M. Bianchi. p. 1252-1255. Levavasseur: Sur les fonctions contigues relatives à la série hypergéométrique de deux variables. p. 1255-1258. Saint-Germain, A. de: Caractère de convergence des séries. p. 1258-1259. Fontés: Critérium de divisibilité par un nombre quelconque. p. 1259–1261. Elliot: Sur le mouvement d'un point matériel dans le cas d'une résistance proportionnelle à la vitesse. p. 1262-1264. Mercadier, E.: Sur la forme générale de la loi du mouvement vibratoire dans un milieu isotrope. p. 1264-1267. Vieille, P.: Emploi des ressorts dans la mesure des pressions explosives. p. 1268-1270. Angot, A.: Sur la décroissance de la température dans l'air avec la hauteur. p. 1270-1273. Violle, J.: Sur la température de l'arc électrique. p. 1273-1275, Berthelot: Remarques sur les hautes températures et sur la vaporisation du carbone. p. 1275-1277. Sarasin, Ed., et La Rive, L. de: Sur l'égalité des vitesses de propagation de l'ondulation électrique dans l'air et le long de fils conducteurs, vérifiée par l'emploi d'une grande surface métallique. p. 1277–1280.- Vaschy: Sur les réseaux de conducteurs électriques. Propriété réciproque de deux branches. p. 1280-1283. Perot, A.: Sur l'affaiblissement des oscillations électro-magnétiques avec leur propagation et leur amortissement. p. 1284-1286. Janet, P.: Détermination des coefficients de self-induction, au moyen des oscillations électriques. p. 1286-1289. Fresnaye, H. de la: Méthode Doppler-Fizeau. Formule exacte. Formule approchée. Evaluation de l'erreur commise. p. 1289-1292. -Curie, P.: Sur les propriétés magnétiques de l'oxygène à diverses températures. p. 1292-1295. Soret, Ch., et Guye, C.-E.: Sur le pouvoir rotatoire du quartz aux basses températures. p. 1295-1296. - - Joannis, A.: Sur la fusion du carbonate de chaux. p. 1296-1298. Joly, A.: Composés ammoniacaux dérivés du sesquichlorure de ruthénium. p. 1299-1301. Ouvrard, L.: Sur un iodosulfure de phosphore. p. 1301–1303. Ditte, A., et Metzner, R.: Action du bismuth sur l'acide chlorhydrique. p. 1303-1305. Cormimboeuf, H.: Action de la potasse et de la soude sur l'oxyde d'antimoine. p. 1305—1307. Prud'homme, M.: Relation entre les chaleurs de formation et les températures du point de réaction. p. 1307-1308. Féry, C.: Sur l'étude des réactions chimiques dans une masse liquide, par l'indice de réfraction. p. 1309-1312. Cazeneuve, P.: Sur un propylamidophénol et ses dérivés acétylés. p. 1312-1315. Barillot, Er.: Dosage des impuretés dans les méthylènes. p. 1315–1317. — Lezé, R.: Séparation des micro-organismes par la force centrifuge. p. 1317-1318. Müntz, A., et Girard, A.-Ch. : Les pertes d'azote dans les fumiers. p. 1318–1321. Hébert, Alex. : Sur les fermentations du fumier. p. 1321-1323. --Venukoff: Du desséchement des marais en Russie. p. 1323-1324. Effront, J.: Sur les conditions chimiques de l'action des diastases. p. 1324-1326. Sabouraud, R.: De la tricophytie chez l'homme. p. 1326–1329. Winter, J.: De l'évolution des fonctions de l'estomac. p. 1329-1332. Blatter, P.: Sur l'histologie des organes annexes de l'appareil mâle chez la Periplaneta orientalis. p. 1332–1334. · Bureau, Ed.: Sur la présence d'une Araliacée et d'une Pontédériacée fossiles dans le calcaire grossier parisien. p. 1335-1337. Margerie, E. de, et Schrader, Fr.: Sur une nouvelle Carte géologique des Pyrénées françaises et espagnoles. p. 1337-1340. -Saintignon, F. de: Le mouvement différentiel dans l'Océan et dans l'atmosphère: marées d'eau, marées d'air. 1340-1342. p. Jousseaume:

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Sur la perforation des roches basaltiques du golfe d'Aden par des galets. Formation d'une marmite des Géants. p. 1342-1343.

Landes-Medicinal-Collegium in Dresden. 23. Jahresbericht über das Medicinalwesen im Königreiche Sachsen auf das Jahr 1891. Leipzig 1892. 8°.

Naturwissenschaftlicher Verein des Harzes in Wernigerode. Schriften. 7. Jg. 1892. Wernigerode 1892. 8°.

Biologisches Centralblatt. Unter Mitwirkung von Dr. M. Reess und Dr. E. Selenka herausgeg. von Dr. J. Rosenthal. Bd. XII. Nr. 23 und 24. Leipzig 1892. 8°.

Königlich Bayerische Akademie der Wissenschaften zu München. Abhandlungen der mathematisch-physikalischen Classe. Bd. XVII. Abthlg. 3. München 1892. 4°.

Seeliger, Hugo: Ueber allgemeine Probleme der Mechanik des Himmels. München 1892. 4o.

Naturforschende Gesellschaft des Osterlandes zu Altenburg in S.-A. Verzeichniss der Mitglieder am fünfundsiebzigsten Stiftungsfeste den 9. October 1892. Altenburg i. S.-A. 1892. 8°.

Jahrbuch der Hamburgischen Wissenschaftlichen Anstalten. IX. Jg. Zweite Hälfte. Hamburg 1892. 8°.

1891.

Naturforschende Gesellschaft in Leipzig. Sitzungsberichte. 17. und 18. Jg. 1891/92. Leipzig 1892. 8o. Germanisches Nationalmuseum in Nürnberg. Anzeiger. 1892. Nr. 6. November und December. Nürnberg 1892. 8°.

Gesellschaft Urania in Berlin. Himmel und Erde. Jg. V. Hft. 4. Berlin 1893. 8°.

Hydrographisches Amt des Reichs-Marine-Amts in Berlin. Nachrichten für Seefahrer. Jg. XXIII. Nr. 50-53. Berlin 1892. 8o.

Deutsche Seewarte in Hamburg. Annalen der Hydrographie und maritimen Meteorologie. Jg. XX Hft. 12. Berlin 1892. 8o.

Deutsche Entomologische Gesellschaft in Berlin. Deutsche Entomologische Zeitschrift. Jg. 1892. 2. Hft. London, Berlin, Paris 1892. 8°.

Nordböhmischer Excursions-Club in Leipa. Mittheilungen. 15. Jg. 4. Hft. Leipa 1892. 8°.

Lotos. Jahrbuch für Naturwissenschaft. N. F. Bd. XIII. Prag, Wien, Leipzig 1893. 8°.

Societas Entomologica. Jg. VII. Nr. 19. Zürich. 1893. 4o.

R. Società Toscana di Orticultura in Florenz. Bullettino. Anno XVII. Nr. 12. Firenze 1892. 8°.

Biblioteca Nazionale Centrale in Florenz. Bollettino delle pubblicazioni italiane. 1892. Nr. 168. Firenze 1892. 8°.

Società Ligustica di Scienze naturali e geografiche in Genua. Atti. Vol. III. Nr. 4. Genova 1892. 8o.

R. Accademia delle Scienze dell' Istituto di Bologna. Memorie. Ser. V. Tom. I. Bologna 1890. 4o.

Reale Accademia delle Scienze di Torino. Memorie. Ser. II. Tom. XLII. Torino 1892. 4o.

Société royale de Géographie d'Anvers. Bulletin. Tom. XVII. Fasc. 1. Anvers 1892. 8°.

Société géologique de France in Paris. Bulletin. Sér. III. Tom. XX. Nr. 2-3. Paris 1892. 8°.

Comision del Mapa Geológico de España in Madrid. Boletín. Tom. XVIII. (Año 1891.) Madrid 1892. So.

Real Academia de Ciencias y Artes de Bologna. Boletín. Vol. I. Nr. 5. Barcelona 1893. 4o.

Société géologique de Belgique in Lüttich. Annales. Tom. XIX. Livr. 3. Liége 1891-1892. 8o.

Société belge de microscopie in Brüssel. Bulletin. Année XIX. 1892-93. Nr. II. Bruxelles 1892. 8°.

Académie royale de médecine de Belgique in Brüssel. Bulletin. Sér. IV. Tom. VI. Nr. 10. Bruxelles 1892. 8°.

(Fortsetzung folgt.)

Oesterreichischer Touristen-Club in Wien. Mit- Die XXIII. allgemeine Versammlung der deutschen Anthropologischen Gesellschaft in Ulm a. D.

theilungen der Section für Naturkunde. IV. Jg. Nr. 12. Wien 1892. 4°.

Zeitschrift für Nahrungsmittel - Untersuchung, Hygiene und Waarenkunde. Herausgeg. von Dr. Hans Heger. Jg. VI. Hft. 24. Wien 1892. 8°.

Kaiserliche Akademie der Wissenschaften in Wien. Anzeiger. Jg. 1892. Nr. XIX-XXIII. Wien 1892. 8o.

K. K. Gartenbau-Gesellschaft in Wien. Wiener Illustrirte Garten - Zeitung. 1892. Hft. 12. Wien 1892. 8o.

Ungarische Geologische Gesellschaft in Budapest. Földtani Közlöny. (Geologische Mittheilungen.) Bd. XXII. Hft. 5-10. Budapest 1892. 8°.

Ungarische Geologische Anstalt in Budapest. Mittheilungen. Bd. X. Hft. 1, 2. Budapest 1892. 8°. Földtani Intézet Évkönyve. Bd. X. Hft. 2, 3. Budapest 1892. 8o.

Dritter Nachtrag zum Katalog der Bibliothek und allgemeinen Kartensammlung 1889-1891. Budapest 1892. 8o.

vom 1. bis 3. August 1892.
(Schluss.)

J. Kollmann hält hierauf einen Vortrag über
die Menschenrassen Europas und die Frage nach der
Herkunft der Arier. Sprachforschung, Culturgeschichte
und Rassenanatomie arbeiten gemeinsam an der Lösung
dieses grossen Problems. Peschel liess nicht nur die
Europäer, wie Blumenbach und Cuvier, vom Kaukasus
ausgehen, sondern auch die Inder. Max Müller ver-
legte die Urheimath der Arier oder Indogermanen an
die Quellen des Oxus und Jaxartes. Nach Penka liegt
sie in Nordeuropa, aber nur die blonden Indogermanen
sind Arier, die brünette brachycephale Bevölkerung
Europas lässt er aus Asien kommen.
Es wird auch
über den culturellen Werth der Menschenrassen ge-
stritten. Nach den Einen sind die Dolichocephalen

die Begründer der Cultur, nach C. Taylor, Mortillet, Ujfalvy sind es die brünetten Brachycephalen. Nach den statistischen Erhebungen über die Farbe der Augen, Haare und Haut und über die Körpergrösse ist die blonde Bevölkerung im Norden Europas heimisch und nach dem Süden vorgedrungen, und diese von kleiner Statur haben sich in umgekehrter Richtung verbreitet. Alle Völker sind von beiden Typen durchdrungen. Kollmann zählt für Deutschland 54% Mischformen, für Oesterreich 57%, für die Schweiz 63 %. Dass aber schon im Anfang unserer Culturperiode in Centraleuropa die verschiedenen europäischen Menschenrassen neben und mit einander leben, das sollen die Grabfelder beweisen. Die nämlichen Rassen, die wir nach ihrer Schädelform unterscheiden, sollen schon vor Jahrtausenden in der neolithischen Periode ebenfalls neben einander gelebt haben. Nach Broca fanden sich in den Grotten von Baye Lang- und Kurzschädel und mittellange Köpfe neben einander, und zwar nach Kollmanns Berechnung Dolichocephale 22,7 %, Mesocephale 50%, Kurzschädel 27,2 % Seit dieser Zeit haben sich die Rassen nie mehr getrennt, und es ist unmöglich, zu entscheiden, welcher dieser Typen der mehr oder weniger begabte war. Nach Kollmann muss man sogar mit zwei dolichocephalen und zwei brachycephalen Typen rechnen, je nachdem sie hohe und schmale oder niedere und breite Gesichter haben, das sind seine Leptoprosopen und Chamaeprosopen, mit einem Gesichtsindex über 90 oder unter 90. Wenn Retzius seine Lang- und Kurzschädel noch dadurch unterschied, ob sie prognath oder orthognath waren, so war damit ein wichtiges den Culturgrad des Volkes bezeichnendes Merkmal gegeben. Die Gesichtslänge hat für den Schädel gar keine Bedeutung, sie darf für ein gleichgültiges Merkmal gehalten werden, und darauf will Kollmann Rassenunterschiede begründen! Wohl giebt es ganze Völkerstämme, die sich durch grossen Wuchs, und andere, die sich durch kleinen auszeichnen, aber innerhalb anderer Stämme, und zumal bei den Culturrassen Mitteleuropas, giebt es, wie bei einzelnen Familien, die grössten Unterschiede der Körperlänge, von dieser aber hängt, wie der Berichterstatter gezeigt hat, hauptsächlich die Gesichtslänge ab. Diese vier Rassen betrachtet Kollmann als gleichbegabt für die Cultur, die deren gemeinsame Leistung ist. Kollmann behauptet noch, dass zur Zeit der Völkerwanderung sowohl als um die neolithische Periode die Leute mit kurzen Schädeln zahlreicher gewesen sein sollen, als die Dolichocephalen. Einige Zeilen weiter sagt er, in der neolithischen Periode ist die Zahl der Dolichocephalen und die der Brachycephalen ungefähr gleich. Wegen der EinLeop. XXIX.

wanderung europäischer Rassen aus Asien weist er auf die Untersuchungen Risley's über die Ethnologie Britisch-Indiens hin. Dieser unterscheidet hier drei Rassen: eine breitgesichtige platyrrhine dolichocephale von geringer Körpergrösse und sehr dunkler Farbe, eine mesorrhine brachycephale von mittlerer Grösse, gelber Farbe und prognathem Gesicht, und im Panjab ein leptorrhiner dolichocephaler Typus von hoher Statur mit schmalem orthognathem Gesicht. Dieser könnte allein als der Bevölkerung unseres Continentes verwandt angesehen werden, aber er ist nicht blond, sondern brünett, und nicht brachycephal, sondern dolichocephal. Ein Zusammenhang indo-europäischer Sprachen- und Gedankenkreise, wie sie in Sagen und Mythen zum Ausdruck kommen, kann nicht in Zweifel gezogen werden, aber alle Versuche, eine directe Rassenverwandtschaft aufzufinden, sind gescheitert. Der Beweis für geistige Verwandtschaft ist erbracht, nicht auch zugleich der für körperliche Abstammung. Wie heute durch wenig Menschen die geistige Bewegung von Europa nach Asien getragen wird, so ist es früher in umgekehrter Richtung geschehen, ohne dass man anzunehmen braucht, in der neolithischen oder Bronzeperiode habe die halbe Bevölkerung des Welttheils sich auf die Wanderschaft begeben; es waren einzelne kleine Gruppen die Träger der Cultur, die spurlos verschwanden, deren Wissen, Kunst und Technik aber unsterblich geworden ist. Kollmann schliesst mit der Behauptung, dass die Rassenzeichen unerschütterlich bleiben trotz aller Einwirkung äusserer Medien. Physiologische Eigenschaften mögen langsam modificirt werden, aber morphologische Merkmale werden weder durch Gebirge und Thäler, weder durch Wärme und Kälte in solchem Grade abgeändert, wie es der Fall sein müsste, wenn wir von Rassen BritischIndiens abstammten. Weil die Rasse ein Dauertypus ist, darum finden wir in allen Continenten Dolichound Brachycephalen, Lepto- und Chamaeprosopen, die jedoch stets ein dem Continent entsprechendes Gepräge an sich tragen. Der Berichterstatter fragt, ob denn in der Länge des Schädels und Gesichtes allein eine Rasse bezeichnet ist, und ob man, weil es in dieser Beziehung immer Unterschiede gegeben hat, behaupten darf, die Rassen seien unveränderlich. Auf jener irrigen Annahme beruht die ganze Darstellung Kollmann's, der nach Länge oder Breite des Gesichtes Rassen unterscheiden will. Dr. v. Luschan hält die Ansicht Penka's, die blonden Europäer seien in Skandinavien entstanden, deshalb für völlig verkehrt, weil jenes Land zur Zeit, die dem ersten Auftreten der Blonden in Europa vorherging, von Gletschern bedeckt und unbewohnbar gewesen sei. Virchow lenkt die Auf

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merksamkeit auf die schwarzen, negerartigen Stämme, die zerstreut in abgelegenen Gegenden des indischen Meeres vorkommen, zumal von den Philippinen bekannt sind und mit den Melanesiern Neu-Guineas und Australiens nichts zu thun haben. Diese Negritos Diese Negritos finden sich auch auf den Andemaren im bengalischen Meerbusen. Mit Unrecht hat Quatrefages auch die kleinen Akkas, die Tikki und Batua Afrikas zu diesen herangezogen. Jetzt ist das Vorkommen von Negritos auch auf der Halbinsel Malacca durch Herrn Vaughan Stevens nachgewiesen. Damit ist die Existenz von spirallockigen Schwarzen in Hinterindien endgültig festgestellt. Aber auch diese niedere Rasse ist nicht pithekoid oder theromorph, sondern rein menschlich.

Hierauf berichtet Herr Oberförster Bürger über die Höhlenforschungen des Ulmer Alterthumsvereins. Aufwärts vom Hohlenstein im Lonethal liegen die Grotten des Bocksteins, Fohlenhaus und Salzbühl. In der Höhle des Bocksteins liessen sich zwei an fossilen Resten reiche Culturschichten unterscheiden. In 1,90 m fanden sich Knochen des Löwen, Bären, Hyäne, Mammuth, Wisent und Riesenhirsch, sowie Rhinoceros, Ren und Pferd, von Menschen geschnitzte Werkzeuge und Scherben von Töpfen. In einer oberen, durch ein mehr als 1 m mächtiges Lehmlager getrennten Schicht fanden sich Luchs, Hyäne, Wolf, Fuchs, Höhlenbär, Biber, Hase, Schwein, Rind, Ren, Damhirsch, Reh, Pferd, es waren Mammuth, Wisent, Riesenhirsch, Nashorn verschwunden. Zahlreich waren verzierte Thonscherben und bearbeitete Renthierknochen. In dem Lehmlager selbst, 87 cm tief im Boden, der Scheitel noch 25 cm mit Lehm bedeckt, fand sich ein hockendes weibliches Skelett nebst den Resten eines Kindes, ohne jede Beigabe. „Alle, welche an der Hebung des Skeletts betheiligt waren, können auf das Bestimmteste versichern, dass zur Bestattung unserer Todten die 45 cm starke schwarze Humusschicht, welche sich scharf von dem darunter liegenden gelben Lehm abhob, nicht durchbrochen worden ist; die Todte wurde also jedenfalls bestattet, ehe die obere Schicht ihre schwarze Färbung angenommen hatte. Diese schwarze Humusschicht schloss neben vielen Thonscherben, von denen die unzweifelhaft römischen nie mehr als 12 cm tief gefunden wurden, Thierreste unserer jetzigen Fauna ein. Feuersteine fanden sich nicht mehr." Herr Oberförster Frank besprach die Pfahlbauten bei Schussenried, um auf den Ausflug dahin vorzubereiten. Die ersten Pfahlbauten wurden im Winter 1853/54 in Obermeilen am Züricher See von Aeppli entdeckt und von Keller beschrieben. In Schussenried wurde zuerst der vollständige Grundbau des Pfahlbautenhauses entdeckt.

Die eigentlichen Wohnböden liegen unmittelbar auf dem Torf, die Fugen der einzelnen Hölzer sind mit Thon verkittet. Die Wohnhäuser sind 7,7 m lang und 4,7 m breit, mit einem wasserdichten Zaun umgeben. Die Bauten liegen im Federseebecken. Dr. Nuesch schildert eine Niederlassung aus der Rennt hierzeit beim Schweizerbild, 12 Stunde von Schaffhausen, die er durch Grabungen entdeckte. In der neolithischen Schicht wurden Menschenreste gefunden, namentlich viele von Kindern, die Halsketten von Serpularingen trugen. Diese Schicht war von Asche grau gefärbt und enthielt Feuersteinmesser und zerschlagene Thierknochen. In der darunter liegenden gelben paläolithischen Schicht sind die Artefacte aus Knochen, Horn und Feuerstein noch zahlreicher. Auch kommen Rennthierzeichnungen auf Knochen vor; auf einer Kalksteinplatte von 10 cm Länge sind auf beiden Seiten Zeichnungen von Pferden und einem Rennthier eingeritzt. Darunter liegt eine Schicht mit zahlreichen Nagethierresten, die auf ein arktisches Steppenklima deutet. Herr Heierli aus Zürich legt Zeichnungen eines Grabfundes von Leukerbad am Gemmipasse aus der La Tène-Zeit vor. Eigenthümlich sind mit Ringen verzierte Spangen, die an Arm- und Beinschienen erinnern. Dann zeigt er einen mit Perlen, Vogelfiguren und gehörnten Thierköpfen verzierten Ring von Port unterhalb Biel. Die meisten Forscher schreiben den auch in der Berliner Zeitschrift f. E. besprochenen Ring der La Tène-Zeit zu. Der Redner stellt zahlreiche Funde von gehörnten Thierköpfen zusammen, seltener sind solche auf geknüpften Ringen. Dr. Hopf glaubt, dass ein solcher Ring zur Abwehr des bösen Blicks getragen worden sei und das Alter dieses Aberglaubens bezeuge.

In der 3. Sitzung am 3. August wird zunächst als Ort der nächsten allgemeinen Versammlung Han nover bestimmt und Director Schuchhard als Geschäftsführer gewählt. Als Vorstand der Gesellschaft werden zum ersten, zweiten und dritten Vorsitzenden die Herren Virchow, Waldeyer und Schaaffhausen gewählt. Dr. F. Boas spricht hierauf über den Stand der Anthropologie in Amerika. Die dortigen Forscher haben sich fast ausschliesslich in die Studien Amerikas vertieft. Die Denkmäler der Vergangenheit verschwinden dort ausserordentlich rasch vor der eindringenden Civilisation; auch findet eine starke Vermischung der Stämme mit einander statt. Die zur Untersuchung der geographischen und wirthschaftlichen Lage der verschiedenen Gebiete von der Regierung der Vereinigten Staaten ausgesendeten Expeditionen brachten in den 60er und 70er Jahren auch viel ethnologisches Material heim, und im Jahre

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