Essai sur la littérature anglaiseE. et V. Penaud, 1849 - 488 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 100
Página 1
... monde ne s'en soucient guère : que font à ceux- ci Warton , Evans , Jones , Percy , Owen , Ellis , Leyden , Édouard Williams , Tyrwhit , Roquefort , Tressan , les collections des historiens , les recueils des poètes , les manuscrits ...
... monde ne s'en soucient guère : que font à ceux- ci Warton , Evans , Jones , Percy , Owen , Ellis , Leyden , Édouard Williams , Tyrwhit , Roquefort , Tressan , les collections des historiens , les recueils des poètes , les manuscrits ...
Página 22
... monde et se retirer dans les cloîtres . Cepen- dant il ne faudrait pas se laisser tromper par les mots ces reines étaient des femmes de pirates du Nord arrivées dans des barques , célébrant leurs noces sur des chariots , comme les ...
... monde et se retirer dans les cloîtres . Cepen- dant il ne faudrait pas se laisser tromper par les mots ces reines étaient des femmes de pirates du Nord arrivées dans des barques , célébrant leurs noces sur des chariots , comme les ...
Página 24
... monde le plus étrange et le plus divers , quand on le préférait à la solitude . Pas un seul point où il ne se passât quelque fait nouveau , car chaque sei- gneurie laïque ou ecclésiastique était un petit État qui gra- vitait dans son ...
... monde le plus étrange et le plus divers , quand on le préférait à la solitude . Pas un seul point où il ne se passât quelque fait nouveau , car chaque sei- gneurie laïque ou ecclésiastique était un petit État qui gra- vitait dans son ...
Página 36
... monde à travers mille périls , la torche et l'épée à la main . Le voyage d'Ulysse aux champs Cimmériens et la descente d'Énée au Tartare renferment l'idée primitive de ces fictions . Cette idée fut communiquée aux siècles chrétiens par ...
... monde à travers mille périls , la torche et l'épée à la main . Le voyage d'Ulysse aux champs Cimmériens et la descente d'Énée au Tartare renferment l'idée primitive de ces fictions . Cette idée fut communiquée aux siècles chrétiens par ...
Página 61
... monde fu- a tur , le jugement dernier , les peines de l'enfer , les joies du pa- a radis de fables absurdes et puériles . » Pétrarque cite à l'appui de ces assertions des anecdotes scandaleuses sur les débauches des cardinaux . Dans un ...
... monde fu- a tur , le jugement dernier , les peines de l'enfer , les joies du pa- a radis de fables absurdes et puériles . » Pétrarque cite à l'appui de ces assertions des anecdotes scandaleuses sur les débauches des cardinaux . Dans un ...
Otras ediciones - Ver todas
FRE-ESSAI SUR LA LITTERATURE A John 1608-1674 Milton,Francois-Rene Vicomte De Chateaubriand Sin vista previa disponible - 2016 |
Términos y frases comunes
Adam ailes amour anges anglais Angleterre arbre armée belle bientôt brillante céleste chant Charles Ier charmante chérubins choses ciel cieux cœur colère colline Cordeilla créatures créé d'Adam d'Eve d'or demeure Dieu dieux divine douce doux Écosse Éden Égypte élevé ennemi Érasme esprits esprits rebelles éthérée étoiles Ève femme fils fleurs force fruit gloire goût guerre haut Henri VIII heureux hommes humaine infernal j'ai Jacques Ier jamais joie jour jugement jusqu'à juste l'air l'amour l'ange l'arbre l'enfer l'homme laissé langue leva liberté loin lord Byron lumière Luther main maintenant malheur matin ment Milton monde montagne mort nature nuage nuit orbes ouvrages Paradis perdu parle paroles passé péché pensées père peuple poëme poète porte premier présent protestantisme puissance puissant race regards règne reste saint Satan semble sent sera serpent seul Shakespeare siècle sois soleil sorte ténèbres terre tête Thomas More tombe Tout-Puissant travers trône trouve Uriel voix yeux
Pasajes populares
Página 30 - Aveugle et souffrant sans espoir et presque sans relâche, je puis rendre ce témoignage, qui de ma part ne sera pas suspect : il ya au monde quelque chose qui vaut mieux que les jouissances matérielles, mieux que la fortune, mieux que la santé ellemême, c'est le dévouement à la science.
Página 236 - Quand le soir approchait je descendais des cimes de l'île et j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac, sur la grève, dans quelque asile caché ; là le bruit des vagues et l'agitation de l'eau fixant mes sens et chassant de mon âme toute autre agitation la plongeaient dans une rêverie délicieuse où la nuit me surprenait souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et...
Página 236 - ... mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce monde dont la surface des eaux m'offrait l'image ; mais bientôt ces impressions légères s'effaçaient dans l'uniformité du mouvement continu qui me berçait...
Página 104 - Wilt thou be gone ? it is not yet near day. It was the nightingale, and not the lark, That pierced the fearful hollow of thine ear; Nightly she sings on yon pomegranate tree. Believe me, love, it was the nightingale.
Página 108 - J'ose vous dire ici qu'en l'état où je suis, Peut-être assez d'honneurs environnaient ma vie Pour ne pas souhaiter qu'elle me fût ravie, Ni qu'en me l'arrachant, un sévère destin, Si près de ma naissance, en eût marqué la fin. Fille d'Agamemnon, c'est moi qui, la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père...
Página 209 - ... du vassal, la simple foi du chrétien, s'y mêlaient à la rude indépendance plébéienne accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paraissait n'être en lui que la conscience de la force de sa main et de l'intrépidité de son cœur. Il ne parlait pas plus qu'un lion ; il se grattait comme un lion, bâillait comme un lion, se mettait sur le flanc comme un lion ennuyé, et rêvait apparemment de sang et de forêts : son intelligence était du genre de celle...
Página 236 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Página 278 - I nos destins ont été pareils 1 mes songes s'évanouissent, à mesure que vos palais s'écroulent; les heures de mon printemps se sont noircies, comme les arabesques dont le faîte de vos monuments est orné. Mais vous périssez à votre insu; moi, je sais mes ruines; votre ciel voluptueux, la vénusté des flots qui vous lavent, me trouvent aussi sensible que je le fus jamais.
Página 97 - ... temps : elle annonce la décadence de la haute poésie et du vrai drame ; on se contente des petites beautés , quand on est impuissant aux grandes ; on imite , à tromper l'œil , des fauteuils et du velours , quand on ne peut plus peindre la physionomie de l'homme assis sur ce velours et dans ces fauteuils.
Página 237 - J'ai achevé ma course : et plût à Dieu que je pusse ajouter : J'ai été fidèle ! Qu'il me soft permis d'employer uniquement pour Dieu et pour moi-même ce qui me reste de vie Là, oubliant les choses du monde, je passerai devant Dieu toutes les années de ma vie dans l'amertume de mon âme.