Histoire de France depuis les origines jusqu'a la révolution: ptie. I. Les premiers Valois et la guerre de cent ans (1328-1422) par A. Coville. ptie. II. Charles VII, Louis XI et les premiéres années de Charles VIII (1422-1492) par C. Petit-DutaillisLibrairie Hachette et cie, 1911 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 100
Página 10
... maisons délabrées qu'on leur avait données et qu'il ne fallait guère songer à remettre en état , dans ce pays ruiné ... maisons en ruines . Les champs sont envahis par les ronces et les arbustes , et les laboureurs ne se croient en ...
... maisons délabrées qu'on leur avait données et qu'il ne fallait guère songer à remettre en état , dans ce pays ruiné ... maisons en ruines . Les champs sont envahis par les ronces et les arbustes , et les laboureurs ne se croient en ...
Página 18
... maison de Foix avait d'importantes possessions en Catalogne , et tendait à devenir la maî- tresse des deux versants des Pyrénées . Elle convoitait la Navarre et devait finir en effet par l'absorber . Jean de Grailly , jusqu'à sa mort ...
... maison de Foix avait d'importantes possessions en Catalogne , et tendait à devenir la maî- tresse des deux versants des Pyrénées . Elle convoitait la Navarre et devait finir en effet par l'absorber . Jean de Grailly , jusqu'à sa mort ...
Página 22
... maison de Bretagne . Si elle parvenait à détacher le duc Jean V de l'alliance anglaise et si elle lui assurait une part active au gouverne- ment , elle faisait coup double : Bedford aurait un ennemi de plus sur les frontières normandes ...
... maison de Bretagne . Si elle parvenait à détacher le duc Jean V de l'alliance anglaise et si elle lui assurait une part active au gouverne- ment , elle faisait coup double : Bedford aurait un ennemi de plus sur les frontières normandes ...
Página 23
... maison de Bretagne . Mais la politique de Jean V était trop subtile et trop changeante pour que ce pacte pût avoir des résultats bien durables . L'arrivée même de Richemont à la cour ne modifia guère le train des choses . Le trésor ...
... maison de Bretagne . Mais la politique de Jean V était trop subtile et trop changeante pour que ce pacte pût avoir des résultats bien durables . L'arrivée même de Richemont à la cour ne modifia guère le train des choses . Le trésor ...
Página 31
... maison de Bourgogne . Il n'aimait pas Philippe le Bon . Un prudent politique comme lui devait mépriser l'audacieuse légèreté , le goût de facile gloire chevaleresque dont faisait preuve le duc de Bourgogne . Sa mauvaise humeur avait ...
... maison de Bourgogne . Il n'aimait pas Philippe le Bon . Un prudent politique comme lui devait mépriser l'audacieuse légèreté , le goût de facile gloire chevaleresque dont faisait preuve le duc de Bourgogne . Sa mauvaise humeur avait ...
Términos y frases comunes
Alain Chartier Anglais Armagnacs armée assemblées avaient Bâle Beaujeu Bedford Bour Bourbon bourgeois Bourges bourguignonne Bull c'était campagne Cent Ans Charles le Téméraire Charles VII Chastellain Chronique Clergé Commynes Concile Concile de Bâle Conseil conseillers corporations d'Anjou d'Armagnac d'Arras dauphin députés documents domaines duc d'Alençon duc de Bourgogne duc de Bretagne duché Dunois Écorcheurs édit États féodale fin du règne flamand Flandre française général gens gouvernement guerre de Cent Guillaume Guyenne Henry Hist Histoire hommes impôts italiens Jacques Cœur Jean Jeanne d'Arc Jouvenel l'Ecole des Chartes l'Église l'évêque l'Université Languedoc Languedoïl lettres Lorraine Louis XI maison Mém ment mois monarchique mort moyen âge n'avait nobles Noblesse Normandie OUVRAGES A CONSULTER paix pape Parlement pays Philippe le Bon politique Pragmatique Praguerie princes procès Pucelle règne de Charles René René d'Anjou Richemont Rouen royal royaume saint seigneurs Suisses Thomas Basin Trémoille villes XIVe siècle xve siècle
Pasajes populares
Página 441 - The borrower must return this item on or before thé last date stamped below. If another user places a recall for this item, thé borrower will be notified of thé need for an earlier return. Non-receipt ofoverdue notices does not exempt thé borrower from overdue fines. Harvard Collège Widener Library Cambridge, MA 02138 617-495-2413 Please handle with care.
Página 63 - J'ai cru comprendre que l'Université de Paris, ou pour mieux dire les ennemis du roi, ont envoyé à Rome, près du pape, pour accuser la Pucelle d'hérésie, elle et ceux qui croient en elle. Ils prétendent qu'elle pèche contre la foi en voulant être crue et savoir dire les choses qui doivent advenir » Dès que l'événement de Compiègne fut connu, le 26 mai 1430, le greffier de l'Université somma le duc de Bourgogne, au nom de l'Inquisiteur de France ', d'envoyer la Pucelle à Paris, pour...
Página 69 - ... et arracher les cheveux : « Hélas ! me traite-t-on ainsi horriblement et cruellement, qu'il faille que mon corps, net en entier, qui ne fut jamais corrompu, soit aujourd'hui consumé et rendu en cendres!
Página 347 - ... car il taschoit à tant de choses grandes, qu'il n'avoit point le temps à vivre, pour les mettre à fin ; et estoient choses quasi impossibles : car la moitié d'Europe ne l'eust sceu contenter.
Página 423 - ... pour ledit art et industrie de l'impression, et au profit et utilité • ' * qui en vient et peut venir à toute la chose publique , tant pour l'augmentation de la science , que autrement , et combien que toute la valeur et estimation.
Página 341 - DESDEUXPRINCES. pour la première fois, le 14 octobre, à neuf heures du matin, voir son prisonnier. Il avait pris son parti : le roi serait libre, s'il voulait signer un traité qui avait été préparé par le Conseil ducal, et participer à la destruction de Liège. Lorsque le duc entra, « la voix luy trembloit, tant il estoit esmeu et prest de se courroucer. Il fit humble contenance de corps, mais sa geste et sa parolle estoit aspre.
Página 66 - Savez-vous être en la grâce de Dieu? — Si je n'y suis, Dieu m'y mette; et si j'y suis, Dieu m'y tienne. — Que dites-vous de notre seigneur le pape, et qui croyez-vous qui soit le vrai pape? — Est-ce qu'il y en a deux ' ? » Certains juges commençaient à murmurer que la Pucelle avait raison, et les Anglais s'inquiétaient. Cauchon remplaça les séances publiques par un interrogatoire secret, dans la prison, devant un petit nombre d'assesseurs. Les questions devenaient de plus en plus pressantes...
Página 352 - BOURGUIGNONNES, la principauté de Liège, qui fut définitivement annexée en 1468. Au nord du Liégeois, il convoitait le duché de Gueldre; il intervint en faveur du duc Arnold, emprisonné par son fils Adolphe, qui trouvait « qu'il y avoit quarante-quatre ans que son père estoit duc, et qu'il estoit bien temps qu'il le fust » ; à la mort du vieil Arnold, en 1473, le duc de Bourgogne recueillit sa succession '. Pour unir les deux tronçons de l'État bourguignon, Charles avait besoin de l'Alsace...
Página 406 - Seulement, afin que l'opposition aristocratique perdît de sa force, ils obtinrent du Conseil que les trois ordres élussent en commun leurs députés. Les mandements adressés à l'ensemble des électeurs de chaque bailliage ou sénéchaussée prescrivirent en général de déléguer « trois personnaiges notables, et non plus, c'est assavoir ung d'Église, ung noble, et ung de Testât commun ». Mais il y eut des bailliages, même peu importants, représentés par un plus grand nombre de députés.
Página 250 - D'autre part, contrairement à un important décret des Pères de Bâle, qui adjurait les princes de ne pas intervenir dans la nomination aux bénéfices, il était admis que « le roi et les princes du royaume, s'abstenant de toute menace ou violence, usassent parfois de sollicitations bénignes et bienveillantes, en faveur de personnes de mérite, zélées pour le bien de l'État et du royaume.