...vont le rebâchant toujours. Mais qu'il ait desséché sa veine poétique (ce que nous ne pensons pas) parce qu'il a exprimé et tordu le cœur de l'homme...mal, il n'ya plus que deux partis à prendre pour le poete qui les fit éclore : ou se brûler la cervelle ou se faire chrétien! Les poésies de Charles...

...de religieuse terreur ! La conclusion de M. Barbey d'Aurevilly est parfaitement raisonnable. — « Après les Fleurs du mal, il n'ya plus que deux partis...ou se brûler la cervelle..., ou se faire chrétien ! » Cette conclusion, qui a dû faire sourire à la fois M. Barbey et M. Baudelaire, mais qui fait...

...de religieuse terreur ! La conclusion de M. Barbey d'Aurevilly est parfaitement raisonnable. — « Après les Fleurs du mal, il n'ya plus que deux partis à prendre pour le poëte qui les fit éclore : ou se brûler la cervelle..., ou se faire chrétien ! » Cette conclusion,...

...M. Barbey d'Aurevilly est parfaitement raisonnable. — « Après les Fleurs du mal, il n'ya plusque deux partis à prendre pour le poète qui les fit...ou se brûler la cervelle..., ou se faire chrétien ! » Celte conclusion, qui a dû faire sourire à la fois M. Barbey et M. Baudelaire, mais qui fait...

...Joséphin Péladan sont des croyants : le premier écrivit à Baudelaire après les Fleurs du mal : t II n'ya plus que deux partis à prendre pour le poète...éclore, ou se brûler la cervelle ou se faire chrétien ; » et Baudelaire se fit chrétien. M. Péladan, admirateur et disciple de M. Barbey d'Aurevilly,...

...Satan, prends pitié de ma longue misère! C'est ce que l'on appelle le christianisme de Baudelaire. « Après les Fleurs du mal, il n'ya plus que deux partis à prendre pour le poète qui les fit éclore, disait jadis le plus fougueux de ses admirateurs, — un autre « diabolique, » aussi lui, — se...

...Joséphin Péladan sont des croyants : le premier écrivit à Baudelaire après les Fleurs du mal : e II n'ya plus que deux partis à prendre pour le poète qui les fil éclore, ou se brûler la cervelle ou se faire chrétien; » et Baudelaire se fit chrétien. M....

...Satan, prends pitiô de ma longue misère! C'est ce que l'on appelle le christianisme de Baudelaire. « Après les Fleurs du mal, il n'ya plus que deux partis à prendre pour le poète qui les fit éclore, disait jadis le plus fougueux de ses admirateurs, — un autre < diabolique >, aussi lui, — se^rùjer....

...d'une première écume, il est tenu de se taire maintenant, car il a dit les mots suprêmes sur lo mal de la vie, — ou de parler un autre langage....mal, il n'ya plus que deux partis à prendre pour le poëte qui les fit éclore : ou se brûler la cervelle. ... ou se faire chrétien I J. BARBEY D'ACREVILLI....

...dlune première écume, il est tenu de se taire maintenant, car il a dit les mots suprêmes sur lo mal de la vie, — ou de parler un autre langage....mal, il n'ya plus que deux partis à prendre pour le poëte qui les fît éclore : ou se brûler la cervelle. ... ou se faire chrétien I Les poésies de...