 | 1804 - 496 páginas
...désagréable pour m'engager à descendre. Mon pouls et ma respiration étoient très-accélérés : ainsi respirant très-fréquemment dans un air très-sec...être surpris d'avoir eu le gosier si sec , qu'il m'étoit pénible d'avaler du pain. Avant de partir j'avois un léger mal de tête , provenant des... | |
 | 1813 - 516 páginas
...mon pouls » et ma respiration étoient très-accélérés ; ainsi , respirant très» fréquemment dans un air très-sec , je ne dois pas être surpris » d'avoir eu le gosier si sec , qu'il m'étoit pénible d'avaler du » pain. » II a effectué sa descente six heures après son départ... | |
 | 1851 - 756 páginas
...respiration était sensiblement gênée ; mais j'étais encore bien loin d'éprouver un malaise assez désagréable pour m'engager à descendre. Mon pouls...du pain. Avant de partir j'avais un léger mal de tète, provenant des fatigues du jour précédent et des veilles de la nuit, et je le gardai toute... | |
 | Louis Figuier - 1855 - 484 páginas
...et ma respiration étaient très accélérés : ainsi respirant fréquemment dans un air très sec, je ne dois pas être surpris d'avoir eu le gosier...des fatigues du jour précédent et des veilles de nuit, et je le gardai toute la journée sans m'apercevoir qu'il augmentât. Ce sont là toutes les... | |
 | François Arago - 1855 - 644 páginas
...étaient très-accélérés : respirant très -fréquemment dans un air d'une extrême sécheresse, je ne dois pas être surpris d'avoir eu le gosier si sec, qu'il m'était pénible d'avaler du pain, » Passons maintenant à l'expérience qui fut le motif principal des deux voyages aérostatiques entrepris... | |
 | François Arago - 1855 - 660 páginas
...étaient très-accélérés : respirant très -fréquemment dans un air d'une extrême sécheresse, je ne dois pas être surpris d'avoir eu le gosier si sec, qu'il m'était pénible d'avaler du pain. » Passons maintenant à l'expérience qui fut le motif principal des deux voyages aérostatiques entrepris... | |
 | Jean Christian Marc François Joseph Boudin - 1857 - 696 páginas
...respiration étaient très accélérés : aussi respirant très fréquemment dans un air très sec, je ne dois pas être surpris d'avoir eu le gosier...du pain. Avant de partir j'avais un léger mal de tète, provenant des fatigues du jour précédent et des veilles de la nuit, et je le gardai toute... | |
 | Hoefer (M., Jean Chrétien Ferdinand) - 1857 - 498 páginas
...étaient très- accélérés : respirant très-fréquemment dans un aird'une extrême sécheresse , je ne dois pas être surpris d'avoir eu le gosier si sec , qu'il m'était pénible d'avaler du pain »: Au moment où son thermomètre, a 7,016 mètres de hauteur, marquait 9°,i au-dessous de 0", celui... | |
 | François Arago - 1857 - 696 páginas
...étaient très-accélérés; respirant très -fréquemment dans un air d'une extrême sécheresse, je ne dois pas être surpris d'avoir eu le gosier si sec qu'il m'était pénible d'avaler du pain. » On voit que les ascensions de MM. Biot et Gay-Lussac sont les premières qui aient été exécutées... | |
 | Société des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille - 1857 - 540 páginas
...respiration étaient très » accélérés : Ainsi , respirant très fréquemment un air très sec , je ne dois pas être » surpris d'avoir eu le gosier...si sec , qu'il m'était pénible d'avaler du pain. » — 199 — Si l'on compare les deux ascensions citées , on verra une notabl augmentation des valeurs... | |
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Quoique bien velu, je commençais à sentir le froid, surtout aux mains, que j'étais obligé de tenir exposées à l'air. Ma respiration était sensiblement gênée ; mais j'étais encore bien loin d'éprouver un malaise assez désagréable pour m'engager... 
