Les contemporains: sér. Stendhal. Baudelaire. Mérimée. Barbey d'Aurevilly. Paul Verlaine. Victor Hugo. Lamartine. George Sand. Taine et Napoléon. Sully-Prud-homme. Alphonse Daudet. Renan. Zola. Paul Bouget. Jean Lahor. GrosclaudeSociété française d'imprimerie et de librairie, 1889 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 25
Página 2
... n'ai jamais parfaitement compris , je l'avoue , cet homme sin- gulier , et que j'ai beaucoup de peine , je ne dis pas à l'admirer , mais à me le définir à moi - même d'une façon un peu satisfaisante . Il m'a toujours paru qu'il y avait ...
... n'ai jamais parfaitement compris , je l'avoue , cet homme sin- gulier , et que j'ai beaucoup de peine , je ne dis pas à l'admirer , mais à me le définir à moi - même d'une façon un peu satisfaisante . Il m'a toujours paru qu'il y avait ...
Página 13
... n'ai pas le loisir de développer ici mon impression ; mais on sent que , plus tard , le romantisme , qu'il défendra , ne sera pas tout à fait la même chose pour lui que pour les romantiques , qu'il ne mettra pas les mêmes idées sous les ...
... n'ai pas le loisir de développer ici mon impression ; mais on sent que , plus tard , le romantisme , qu'il défendra , ne sera pas tout à fait la même chose pour lui que pour les romantiques , qu'il ne mettra pas les mêmes idées sous les ...
Página 15
... a été . C'est l'im- pression que m'a laissée ce journal dont je n'ai pu vous donner , par ces quelques lignes , qu'une idée fort imparfaite . - BAUDELAIRE Euvres posthumes et Correspondances inédites , précédées d'une étude STENDHAL . 15.
... a été . C'est l'im- pression que m'a laissée ce journal dont je n'ai pu vous donner , par ces quelques lignes , qu'une idée fort imparfaite . - BAUDELAIRE Euvres posthumes et Correspondances inédites , précédées d'une étude STENDHAL . 15.
Página 64
... n'ai qu'à donner comme telles pour n'être point accusé soit de témérité , soit de snobisme . cères - Premièrement , je suppose que les poètes dits décadents ne sont point de simples mystificateurs . A dire vrai , je suis tenté de les ...
... n'ai qu'à donner comme telles pour n'être point accusé soit de témérité , soit de snobisme . cères - Premièrement , je suppose que les poètes dits décadents ne sont point de simples mystificateurs . A dire vrai , je suis tenté de les ...
Página 66
... très bien , voyait du moins quelque chose . Je n'ai pu prendre mon parti de ces séries de vocables qui , étant enchaînés selon les lois d'une syntaxe , semblent avoir un sens , et qui n'en ont point 66 LES CONTEMPORAINS .
... très bien , voyait du moins quelque chose . Je n'ai pu prendre mon parti de ces séries de vocables qui , étant enchaînés selon les lois d'une syntaxe , semblent avoir un sens , et qui n'en ont point 66 LES CONTEMPORAINS .
Términos y frases comunes
aime Alphonse Daudet âme amour Antistius artiste Astier-Réhu Baudelaire beau beauté belle bonheur Buteau chanson chante charme chose Christine Claude cœur conte bleu CONTEMP crois d'Aurevilly Dieu dire drame écrit écrivains enfin esprit façon Faustus et Stella femme fille fleurs Fleurs du mal génie George Sand goût Grosclaude hommes humaine idées images impressions j'ai jamais Jean Lahor joie l'Académie l'âme l'amour l'auteur l'empereur l'esprit l'histoire l'homme Lamartine Légende des Siècles littérature livre Lyre Méniquette ment Mérimée Mme de Rémusat monde morale mort mots œuvre passé passion Paul Bourget Paul Verlaine paysage pensée petite peut-être philosophie plaisir poème poésie poète presque Prêtre de Némi prince Napoléon qu'un raison réalité Renan reste rêve rien roman romancier Rougon-Macquart s'il saint sais Sandoz semble sens sentiments sera seul siècle sincérité sion songe souvent Stendhal Sully-Prudhomme symbole Taine Tamango tion tonnerre de Dieu triste trouve Victor Hugo vision voici voilà vrai yeux Zola
Pasajes populares
Página 83 - CHANSON D'AUTOMNE Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure ; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte.
Página 109 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise: Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
Página 27 - Mes ancêtres, idiots ou maniaques, dans des appartements solennels, tous victimes de terribles passions.
Página 24 - Faire tous les matins ma prière à Dieu, réservoir de toute force et de toute justice, à mon père, à Mariette et à Poe, comme intercesseurs; les prier de me communiquer la force nécessaire pour accomplir tous mes devoirs...
Página 103 - Quand retentit un affreux coup de tonnerre, Et c'est la fin de l'allégresse et du chant. On n'avait pas agréé le sacrifice : Quelqu'un de fort et de juste assurément Sans peine avait su démêler la malice Et l'artifice en un orgueil qui se ment.
Página 21 - Moi, je dis : la volupté unique et suprême de l'amour gît dans la certitude de faire le mal. — Et l'homme et la femme savent de naissance que dans le mal se trouve toute volupté.
Página 80 - ... débile, Vient rendre nul en eux l'effort de la Raison. Dans leurs veines le sang, subtil comme un poison, Brûlant comme une lave, et rare, coule et roule En grésillant leur triste Idéal qui s'écroule. Tels les Saturniens doivent souffrir et tels Mourir, — en admettant que nous soyons mortels, — Leur plan de vie étant dessiné ligne à ligne Par la logique d'une Influence maligne.
Página 41 - Dans le monde, il obtint la triste réputation d'insensible et d'insouciant; et, dans la solitude, son imagination inquiète lui créait des tourments d'autant plus affreux qu'il n'aurait voulu en confier le secret à personne.
Página 39 - Le Fils de l'Homme ait dit ce qu'on voit rapporté Muet, aveugle et sourd au cri des créatures, Si le Ciel nous laissa comme un monde avorté, Le juste opposera le dédain à l'absence Et ne répondra plus que par un froid silence Au silence éternel de la Divinité.
Página 43 - Je suis sûr que cet homme-là a dans la tête un millier d'idées qui me sont absolument étrangères ; son essence lui est particulière. Hélas! tout ce que les hommes se disent entre eux se ressemble ; les idées qu'ils échangent sont presque toujours les...