Les contemporains: sér. Stendhal. Baudelaire. Mérimée. Barbey d'Aurevilly. Paul Verlaine. Victor Hugo. Lamartine. George Sand. Taine et Napoléon. Sully-Prud-homme. Alphonse Daudet. Renan. Zola. Paul Bouget. Jean Lahor. GrosclaudeSociété française d'imprimerie et de librairie, 1889 |
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... qu'on laissât les femmes entrer dans les églises . Quelles conversations peuvent - elles avoir avec Dieu ? La jeune fille , ce qu'elle est en réalité . - - - Une petite sotte et une petite salope ; la BAUDELAIRE . 21.
... qu'on laissât les femmes entrer dans les églises . Quelles conversations peuvent - elles avoir avec Dieu ? La jeune fille , ce qu'elle est en réalité . - - - Une petite sotte et une petite salope ; la BAUDELAIRE . 21.
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... et complaisante des plus déso- lants détails de la réalité physique , et c'est , dans le même moment , la traduction épurée des idées et des croyances qui dépassent le plus l'impression immé . diate que 28 LES CONTEMPORAINS .
... et complaisante des plus déso- lants détails de la réalité physique , et c'est , dans le même moment , la traduction épurée des idées et des croyances qui dépassent le plus l'impression immé . diate que 28 LES CONTEMPORAINS .
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... réalité injuste ; et c'est une protestation contre la réalité douloureuse que de ne pas daigner se plaindre devant les autres . Mérimée s'est montré , vis - à - vis de l'univers et de la cause première , quelle qu'elle soit , poli ...
... réalité injuste ; et c'est une protestation contre la réalité douloureuse que de ne pas daigner se plaindre devant les autres . Mérimée s'est montré , vis - à - vis de l'univers et de la cause première , quelle qu'elle soit , poli ...
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... réalité les âmes n'appartiennent point toutes au temps qui les a fait naître , qu'il y a parmi nous des hommes du moyen âge , de la Renaissance et , si vous voulez , du xx ° siècle . Je consens donc et même je suis charmé que M. d ...
... réalité les âmes n'appartiennent point toutes au temps qui les a fait naître , qu'il y a parmi nous des hommes du moyen âge , de la Renaissance et , si vous voulez , du xx ° siècle . Je consens donc et même je suis charmé que M. d ...
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... 'exprimer par elles . Cela signifie aussi , par suite , que le poète ne copie pas exactement la réalité , mais ne lui emprunte que ce qui correspond , en elle , à l'impression qu'il veut traduire ... Mais est - ce PAUL VERLAINE 69.
... 'exprimer par elles . Cela signifie aussi , par suite , que le poète ne copie pas exactement la réalité , mais ne lui emprunte que ce qui correspond , en elle , à l'impression qu'il veut traduire ... Mais est - ce PAUL VERLAINE 69.
Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 83 - CHANSON D'AUTOMNE Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure ; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte.
Página 109 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise: Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
Página 27 - Mes ancêtres, idiots ou maniaques, dans des appartements solennels, tous victimes de terribles passions.
Página 24 - Faire tous les matins ma prière à Dieu, réservoir de toute force et de toute justice, à mon père, à Mariette et à Poe, comme intercesseurs; les prier de me communiquer la force nécessaire pour accomplir tous mes devoirs...
Página 103 - Quand retentit un affreux coup de tonnerre, Et c'est la fin de l'allégresse et du chant. On n'avait pas agréé le sacrifice : Quelqu'un de fort et de juste assurément Sans peine avait su démêler la malice Et l'artifice en un orgueil qui se ment.
Página 21 - Moi, je dis : la volupté unique et suprême de l'amour gît dans la certitude de faire le mal. — Et l'homme et la femme savent de naissance que dans le mal se trouve toute volupté.
Página 80 - ... débile, Vient rendre nul en eux l'effort de la Raison. Dans leurs veines le sang, subtil comme un poison, Brûlant comme une lave, et rare, coule et roule En grésillant leur triste Idéal qui s'écroule. Tels les Saturniens doivent souffrir et tels Mourir, — en admettant que nous soyons mortels, — Leur plan de vie étant dessiné ligne à ligne Par la logique d'une Influence maligne.
Página 41 - Dans le monde, il obtint la triste réputation d'insensible et d'insouciant; et, dans la solitude, son imagination inquiète lui créait des tourments d'autant plus affreux qu'il n'aurait voulu en confier le secret à personne.
Página 39 - Le Fils de l'Homme ait dit ce qu'on voit rapporté Muet, aveugle et sourd au cri des créatures, Si le Ciel nous laissa comme un monde avorté, Le juste opposera le dédain à l'absence Et ne répondra plus que par un froid silence Au silence éternel de la Divinité.
Página 43 - Je suis sûr que cet homme-là a dans la tête un millier d'idées qui me sont absolument étrangères ; son essence lui est particulière. Hélas! tout ce que les hommes se disent entre eux se ressemble ; les idées qu'ils échangent sont presque toujours les...