Les contemporains: sér. Stendhal. Baudelaire. Mérimée. Barbey d'Aurevilly. Paul Verlaine. Victor Hugo. Lamartine. George Sand. Taine et Napoléon. Sully-Prudhomme. Alphonse Daudet. Renan. Zola. Paul Bourget. Jean Lahor. GrosclaudeH. Lecéne et H. Oudin, 1889 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 14
Página 5
... mains , aux mois de printemps que je passerai à Grenoble . « ... D'abord tout cela , et vingt pages de détails tous horriblement aggravants ; mon père est un vilain scélérat à mon égard , n'ayant ni vertu , ni pitié . Senza virtù nè ...
... mains , aux mois de printemps que je passerai à Grenoble . « ... D'abord tout cela , et vingt pages de détails tous horriblement aggravants ; mon père est un vilain scélérat à mon égard , n'ayant ni vertu , ni pitié . Senza virtù nè ...
Página 39
... mains au ciel , invoquaient leurs fétiches et ceux des blancs . » Voilà le ton . Done la destinée n'est ni juste ni douce ; le monde n'est point bon , et il est incompréhensible . Mais allons - nous geindre ? ou bien allons - nous ...
... mains au ciel , invoquaient leurs fétiches et ceux des blancs . » Voilà le ton . Done la destinée n'est ni juste ni douce ; le monde n'est point bon , et il est incompréhensible . Mais allons - nous geindre ? ou bien allons - nous ...
Página 92
... mains lâches , les yeux éblouis des chemins , Elle baissa mes yeux et me joignit les mains Et m'enseigna les mots par lesquels on adore ... Et tous ces bons efforts vers les croix et les plaies , Comme je l'invoquais , elle en ceignit ...
... mains lâches , les yeux éblouis des chemins , Elle baissa mes yeux et me joignit les mains Et m'enseigna les mots par lesquels on adore ... Et tous ces bons efforts vers les croix et les plaies , Comme je l'invoquais , elle en ceignit ...
Página 98
... et de moi , de la route suivie , Je n'ai rien retenu que la bonté de Dieu . Et sur la femme , auxiliatrice de Dieu , sur la femme qui console , apaise et purifie : Beauté des femmes , leur faiblesse , et ces mains 98 LES CONTEMPORAINS .
... et de moi , de la route suivie , Je n'ai rien retenu que la bonté de Dieu . Et sur la femme , auxiliatrice de Dieu , sur la femme qui console , apaise et purifie : Beauté des femmes , leur faiblesse , et ces mains 98 LES CONTEMPORAINS .
Página 99
... mains consacrées , O ces mains , ces mains vénérées , Faites le geste qui pardonne ! Et j'ai revu l'enfant unique ..... Et tout mon sang chrétien chanta la chanson pure . J'entends encor , je vois encor ! Loi du devoir Si douce ! Enfin ...
... mains consacrées , O ces mains , ces mains vénérées , Faites le geste qui pardonne ! Et j'ai revu l'enfant unique ..... Et tout mon sang chrétien chanta la chanson pure . J'entends encor , je vois encor ! Loi du devoir Si douce ! Enfin ...
Otras ediciones - Ver todas
Les contemporains: sér. Stendhal. Baudelaire. Mérimée. Barbey d'Aurevilly ... Jules Lemaître Vista de fragmentos - 1800 |
Términos y frases comunes
aime Alphonse Daudet âme amour Antistius artiste assez Astier-Réhu Baudelaire beau beauté belle bonheur Buteau chanson chante charme chose Christine Claude cœur conte bleu CONTEMP crois d'Aurevilly Dieu dire drame écrit écrivains enfin esprit façon Faustus et Stella femme fille Fleurs du mal génie George Sand goût Grosclaude hommes humaine idées images impressions j'ai jamais Jean Lahor jeune joie l'Académie l'âme l'amour l'auteur l'empereur l'esprit l'histoire l'homme Lamartine Légende des Siècles littérature livre Lyre Méniquette ment Mérimée Mme de Rémusat monde morale mort mots Napoléon Bonaparte œuvre passé passion Paul Bourget Paul Verlaine paysage pensée petite peut-être philosophie plaisir poème poésie poète première presque prince Napoléon qu'un raison réalité REESE LIBRARY Renan reste rêve rien roman romancier Rougon-Macquart s'il saint sais Sandoz semble sens sentiments sera seul siècle sincérité sion songe souvent Stendhal Sully-Prudhomme symbole Taine Tamango tion triste trouve Victor Hugo vision voici voilà vrai yeux Zola
Pasajes populares
Página 109 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.
Página 83 - CHANSON D'AUTOMNE Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure ; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte.
Página 92 - Quand Maintenon jetait sur la France ravie L'ombre douce et la paix de ses coiffes de lin, Et royale abritait la veuve et l'orphelin, Quand l'étude de la prière était suivie, Quand...
Página 81 - Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse ? Je l'ignore. Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore Comme ceux des aimés que la Vie exila. Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
Página 24 - Faire tous les matins ma prière à Dieu, réservoir de toute force et de toute justice, à mon père, à Mariette et à Poe, comme intercesseurs...
Página 103 - Quand retentit un affreux coup de tonnerre, Et c'est la fin de l'allégresse et du chant. On n'avait pas agréé le sacrifice : Quelqu'un de fort et de juste assurément Sans peine avait su démêler la malice Et l'artifice en un orgueil qui se ment.
Página 21 - Moi, je dis : la volupté unique et suprême de l'amour gît dans la certitude de faire le mal. Et l'homme et la femme savent, de naissance, que dans le mal se trouve toute volupté.
Página 41 - Dans le monde, il obtint la triste réputation d'insensible et d'insouciant; et, dans la solitude, son imagination inquiète lui créait des tourments d'autant plus affreux qu'il n'aurait voulu en confier le secret à personne.
Página 100 - Que crains-tu de la guêpe ivre de son vol fou ? Vois, le soleil toujours poudroie à quelque trou. Que ne t'endormais-tu, le coude sur la table ? Pauvre âme pâle, au moins cette eau du puits glacé, Bois-la. Puis dors après. Allons, tu vois, je reste, Et je dorloterai les rêves de ta sieste, Et tu chantonneras comme un enfant bercé. Midi sonne. De grâce, éloignez-vous, madame. Il dort. C'est étonnant comme les pas de femme Résonnent au cerveau des pauvres malheureux. Midi sonne. J'ai fait...
Página 39 - Le Fils de l'Homme ait dit ce qu'on voit rapporté Muet, aveugle et sourd au cri des créatures, Si le Ciel nous laissa comme un monde avorté, Le juste opposera le dédain à l'absence Et ne répondra plus que par un froid silence Au silence éternel de la Divinité.