Les contemporains: sér. Stendhal. Baudelaire. Mérimée. Barbey d'Aurevilly. Paul Verlaine. Victor Hugo. Lamartine. George Sand. Taine et Napoléon. Sully-Prudhomme. Alphonse Daudet. Renan. Zola. Paul Bourget. Jean Lahor. GrosclaudeH. Lecéne et H. Oudin, 1889 |
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... sincérité d'artiste , dont je dou- tais d'abord . Enfin , ayant relu les Fleurs du mal , j'y ai pris plus de plaisir que je n'en attendais , et j'ai été contraint de reconnaître , quoi qu'en aient dit d'habiles gens , la réelle , l ...
... sincérité d'artiste , dont je dou- tais d'abord . Enfin , ayant relu les Fleurs du mal , j'y ai pris plus de plaisir que je n'en attendais , et j'ai été contraint de reconnaître , quoi qu'en aient dit d'habiles gens , la réelle , l ...
Página 25
... sincérité du poète des Fleurs du mal . Baudelaire s'épanche avec Sainte - Beuve plus librement qu'avec tout autre ; il est simple , affectueux , confiant . Sainte - Beuve avait coutume de l'appeler : « Mon cher enfant » ; et Bau ...
... sincérité du poète des Fleurs du mal . Baudelaire s'épanche avec Sainte - Beuve plus librement qu'avec tout autre ; il est simple , affectueux , confiant . Sainte - Beuve avait coutume de l'appeler : « Mon cher enfant » ; et Bau ...
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... sincérité de cette parade a sa beauté . Si ce n'est donc avec une sympathie spontanée et tranquille , ce sera du moins avec grande curiosité et révérence que je passerai en revue les divers artifices et men- songes de M. d'Aurevilly qui ...
... sincérité de cette parade a sa beauté . Si ce n'est donc avec une sympathie spontanée et tranquille , ce sera du moins avec grande curiosité et révérence que je passerai en revue les divers artifices et men- songes de M. d'Aurevilly qui ...
Página 88
... sincérité , avec , quelquefois , des obscurités dont on ne sait si ce sont des raffine- ments de forme on des maladresses . Les Fétes galantes , ce sont de petits vers précieux que l'ingénu rimeur croit être dans le goût du siècle ...
... sincérité , avec , quelquefois , des obscurités dont on ne sait si ce sont des raffine- ments de forme on des maladresses . Les Fétes galantes , ce sont de petits vers précieux que l'ingénu rimeur croit être dans le goût du siècle ...
Página 167
... sincérité ) du sentiment de la nature . Elle la connaît mieux , elle est plus familière avec elle qu'aucun des paysagistes qui l'ont précédée . Elle vit vraiment de la vie de la terre , et cela sans s'y appliquer . Elle est le plus na ...
... sincérité ) du sentiment de la nature . Elle la connaît mieux , elle est plus familière avec elle qu'aucun des paysagistes qui l'ont précédée . Elle vit vraiment de la vie de la terre , et cela sans s'y appliquer . Elle est le plus na ...
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Les contemporains: sér. Stendhal. Baudelaire. Mérimée. Barbey d'Aurevilly ... Jules Lemaître Vista de fragmentos - 1800 |
Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 109 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.
Página 83 - CHANSON D'AUTOMNE Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure ; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte.
Página 92 - Quand Maintenon jetait sur la France ravie L'ombre douce et la paix de ses coiffes de lin, Et royale abritait la veuve et l'orphelin, Quand l'étude de la prière était suivie, Quand...
Página 81 - Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse ? Je l'ignore. Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore Comme ceux des aimés que la Vie exila. Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
Página 24 - Faire tous les matins ma prière à Dieu, réservoir de toute force et de toute justice, à mon père, à Mariette et à Poe, comme intercesseurs...
Página 103 - Quand retentit un affreux coup de tonnerre, Et c'est la fin de l'allégresse et du chant. On n'avait pas agréé le sacrifice : Quelqu'un de fort et de juste assurément Sans peine avait su démêler la malice Et l'artifice en un orgueil qui se ment.
Página 21 - Moi, je dis : la volupté unique et suprême de l'amour gît dans la certitude de faire le mal. Et l'homme et la femme savent, de naissance, que dans le mal se trouve toute volupté.
Página 41 - Dans le monde, il obtint la triste réputation d'insensible et d'insouciant; et, dans la solitude, son imagination inquiète lui créait des tourments d'autant plus affreux qu'il n'aurait voulu en confier le secret à personne.
Página 100 - Que crains-tu de la guêpe ivre de son vol fou ? Vois, le soleil toujours poudroie à quelque trou. Que ne t'endormais-tu, le coude sur la table ? Pauvre âme pâle, au moins cette eau du puits glacé, Bois-la. Puis dors après. Allons, tu vois, je reste, Et je dorloterai les rêves de ta sieste, Et tu chantonneras comme un enfant bercé. Midi sonne. De grâce, éloignez-vous, madame. Il dort. C'est étonnant comme les pas de femme Résonnent au cerveau des pauvres malheureux. Midi sonne. J'ai fait...
Página 39 - Le Fils de l'Homme ait dit ce qu'on voit rapporté Muet, aveugle et sourd au cri des créatures, Si le Ciel nous laissa comme un monde avorté, Le juste opposera le dédain à l'absence Et ne répondra plus que par un froid silence Au silence éternel de la Divinité.